FPI-RDCongo | Projets Financés
FPI, Visite en rdc du DG de SAMCRETE

En séjour en rdc, le DG de SAMCRETE très satisfait de l’évolution des travaux de route Mbuji-Mayi-Kananga

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Démarrés le 20 février dernier , les travaux de gros œuvres pour la construction de la route nationale n°1 Mbuji-Mayi - Kananga exécutés par le groupe Egyptien SAMCRETE et financés par le Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI ont pris une vitesse de croisière par le traçage et le nivellement de la route à la grande satisfaction de la population. En séjour en RDC, le Directeur Général de SAMCRETE, Monsieur SHÉRIF NAZMY s’est rendu à Mbuji-Mayi pour se rendre compte des réalités sur le terrain.

En séjour en République Démocratique du Congo et plus principalement dans la ville de Mbuji-Mayi, le Directeur Général de l’entreprise Égyptienne de Construction SAMCRETE, SHÉRIF NAZMY qui exécute les travaux de construction et d’aménagement du tronçon de 188Km sur la route Nationale numéro 1 en reliant les villes de Mbuji-Mayi et Kananga s’est tout d’abord enquit de l’évolution des travaux des gros œuvres débutés le 20 février 2023. Accompagné par les experts du FPI, émissaires du Directeur Général Bertin MUDIMU TSHISEKEDI ainsi que du staff de SAMCRETE/RDC, le patron de cette prestigieuse entreprise Égyptienne de Construction s’est dit très satisfait quant à l’évolution du chantier. Et sans peur d’être contredit, nous l’avons constaté sur le terrain ; les travaux ont pris une vitesse de croisière. Et les riverains de Mbuji-Mayi ne vivent qu’un seul spectacle au quotidien, celui du passage des engins de génie civile mobilisés pour la construction et la modernisation de cette route Nationale d’une importance capitale.

Au jour d’Aujourd’hui, les travaux en cours d’exécution consistent au traçage et au nivellement du sol ; deux phases importantes parmi les étapes de la construction d’une nouvelle route. Cette opération est visible au niveau du point Kilomètre 0 (PK0), soit à Hauteur du rond-point PETROMBU où les engins d’excavation ainsi que des camions 4 roues motrices sont à pied œuvre et se dirigent vers le point Kilomètre 15 (PK15) soit, au niveau du poste de péage de TSHIMBOMBO. En réalité, ce premier 15 kilomètres constituent le lot 1 du chantier. Et face à la réalité observable sur le terrain qui demeure le défis logistique ; le Directeur Général de SAMCRETE Shérif NAZMY parle de la détermination de son entreprise d’être à la hauteur de ce challenge cela, bien attendu avec l’appui et l’accompagnement du FPI qui est le bailleur des fonds de ce projet Présidentiel. « Je suis très content de venir à Mbuji-Mayi et aussi d’être sur le site, notamment sur la route qui reliera Mbuji-Mayi à Kananga. Je suis tout aussi très heureux de participer au lancement des travaux et d’assister à la mise en service des équipements. Je remercie l’équipe de SAMCRETE et l’équipe de FPI pour les défis qu’ils ont su relever au début. La construction de cette route n’est pas difficile, nous n’avons pas peur de cela, le problème actuel est la logistique. Je sais que beaucoup d’autres équipements et matériaux arriveront dans les prochaines semaines. Toutefois, l’importation en RDC est difficile, surtout en ce qui concerne les documents et le processus qui est également très long. La région du Kasaï est fermée, il n’y a pas beaucoup de moyens de transport et l’accès est difficile. Mais le plan sur lequel nous travaillons avec le FPI fera en sorte que le matériel arrive le plus rapidement possible pour continuer le travail. J’ai l’intention de venir bientôt à Mbuji-Mayi et de rouler sur cette route. »

FPI, Visite en rdc du DG de SAMCRETE

L’inspection du chantier terminée, place à une séance de travail où les parties FPI et SAMCRETE ont évalué l’état d’avancement de la mise en œuvre du contrat de construction de la Route Mbuji-Mayi – Kananga. Séance tenante, les deux parties ont procédé à l’examen du document relatif au plan logistique des arrivées des équipements, engins et autres matériels. Après l’analyse de ce document très essentiel pour l’évaluation du projet, les deux parties ont pris la résolution de procéder à une mise à jour qui devra tenir en compte les priorités des priorités quant au processus de l’acheminement des équipements, engins et autres matériels qui demeure encore le talon d’Achille dans la mise en œuvre de ce projet. Et enfin, il sied aussi de rappeler que dans le cadre de l’exécution de ce projet, le FPI a mis à disposition de SAMCRETE des carrières d’emprunt des matériaux et pour le choix de l’emplacement du concasseur. Et le Directeur Général de SAMCRETE a tenu à voir de visu l’une des carrières disponibles pour le chantier en cours d’exécution. Ainsi dit, la délégation a été au groupement de BENA MBUYI à plus de 16 Kilomètres de Mbuji-Mayi où, des travaux d’aménagement se font déjà sur environ 7 kilomètres de la Route principale vers la carrière.

Mais, bien qu’améliorée à ce jour, l’accès à la carrière a été une aventure inoubliable pour le Directeur Général de SAMCRETE. Il a vécu les réalités du Congo profond… qu’à cela ne tiennent, malgré les difficultés du parcours, Shérif NAZMY a manifesté son appréciation sur la qualité de la roche présente dans cette carrière. Et les équipes de SAMCRETE ont aussi confirmé l’arrivée dans les tous prochains jours du concasseur mobil qui est déjà mis sur train et sera acheminé de Lubumbashi à Mbuji-Mayi via Mwene-Ditu.

Enfin, on ne le dira jamais assez, le FPI qui finance ce projet, l’inscrit dans la matérialisation de la vision du Président de la République, Félix-Antoine TSHISEKEDI qui ne jure que sur l’intégration et la connectivité des 145 territoires du pays. Et face à ce Challenge, le FPI ne désempare pas. La Route Nationale Mbuji-Mayi - Kananga va se construire sur ses 188 km de distance cela, n’en déplaise aux prophètes de malheur et aux incrédules.


Publié le 16 mars 2023
FPI, Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA au Kasaï

Sur financement du FPI, l’entreprise égyptienne SAMCRETE débute avec les travaux des gros œuvres de la route Mbuji-Mayi -Kananga

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Début le lundi 20 février 2023 des travaux de gros œuvres du projet de construction et d’aménagement de la Route Nationale Numéro 1 dans son axe compris entre Mbuji-Mayi et KANANGA, longue de 188 Km. C’est Le Vice Gouverneur de la Province du Kasaï Oriental, Madame Julie KALENGA qui a donné le go à ces travaux financés par le Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI et exécutés par l’entreprise Égyptienne, SAMCRETE. Des travaux qui s’inscrivent dans le cadre du Programme Présidentiel Accéléré de Lutte Contre la Pauvreté et la Réduction des Inégalités.

Il était 15 heures, heures de Mbuji-Mayi lorsque le Vice-Gouverneur du Kasaï Oriental, Madame Julie KALENGA assistait au démarrage des travaux de grande envergure en rapport avec la construction de la Route Mbuji-Mayi Kananga, longue de 188 Km sur la nationale numéro 1. Démonstration faites, l’un des engins de l’entreprise Égyptienne SAMCRETE en l’occurrence une pelle excavatrice avait déchiré la terre aux environs du célèbre " Rond-Point PetroMbu " sous l’œil observateur et admiratif des habitants de Mbuji-Mayi, qui ont salué cette action.

Au nom de la Province du Kasaï Oriental, le vice-gouverneur, Madame Julie KALENGA a remercié le Président de la République et le FPI pour cette intervention tant attendue par la population car, l’objectif de cette construction est de désenclaver ainsi que de permettre la fluidité du transport entre la ville de Mbuji-Mayi Kananga et plusieurs points de consommation provinciaux et nationaux.

« Le Président de la République vient de tenir sa parole aujourd’hui, nous constatons que grâce au FPI les engins sont sur cette route pour le début effectif des travaux. Nous lui disons grandement merci et nous profitons de cette occasion pour demander aux entreprises chargées d’exécuter des travaux de mieux faire leur travail pour que l’on constate les changements attendus par notre peuple. Il s’agit de la nationale numéro 1. Elle mène jusqu’à Kinshasa en passant par Kananga. Donc si elle est totalement construite, nous vivrons les changements sur tous les plans, car les vivres pourront être acheminés sans difficulté, et nous pourrons facilement nous déplacer ».

Du côté du FPI, l’un des cadres de cet établissement public François MPUILA qui a reçu le mandat du Directeur Général, nous citons Bertin MUDIMU TSHISEKEDI de suivre l’évolution de ce projet au quotidien a rassuré la population Est-Kasaïenne de la détermination du FPI de mener ce projet jusqu’à bon port.

« Nous avons connu des difficultés parce que nous sommes dans un espace enclavé. Nous avons pris du temps avant de commencer à faire venir les équipements que vous avez vu et il y a d’autres équipements qui sont à la base vie de SAMCRETE. Et il y a un instrument important qui nous bloquait c’était les géotextiles (des tissus en polymères naturels ou synthétiques ou encore des plans perméables utilisés en contact avec un sol et/ou d’autres matériaux pour des applications géotechniques notamment pour la prévention des risques naturels, résilience des écosystèmes) cette acquisition nous permet maintenant de commencer les travaux dans les normes telles que cela a été fait dans l’étude de faisabilité. Son excellence, Monsieur le Président de la République a appuyé ce projet en demandant au FPI et à la SNCC de travailler ensemble pour que nous puissions recevoir les équipements à temps. Et de ce côté-là, il n’y a plus de problème. Et là l’autorité provinciale vient de donner le ton. Il y a eu le retard certes, mais aujourd’hui regardons de l‘avant. Nous allons avancer avec les travaux à partir du moment où son excellence madame la vice gouverneure vient de donner le ton. » A conclut François MPUILA c’est cadre du FPI et Project Manager de ce Projet.

Dans l’aspect opérationnel l’entreprise SAMCRETE rassure que les travaux ont commencé d’un côté pour permettre la fluidité de la circulation. Il sera fait de même pour l’autre côté, après le premier lot. Et à l’extérieur de la ville, il y aura des déviations.

L’appel a été faite à la population de s’approprier le projet du Président de la République, Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, qui prêche par des actes et des actions. Et le groupe Égyptien SAMCRETE qui exécute les travaux, a rassuré que cette route sera construite dans le strict respect des normes requises pour une infrastructure routière moderne.


Publié le 22 février 2023
FPI, Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA au Kasaï

Pose des Premiers Panneaux Solaires sur la Plateforme de la Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA au Kasaï

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Les travaux d’implantation de la centrale photovoltaïque à TSHIPUKA d’une capacité de 10 mégawatts (située à une vingtaine de kilomètres de la ville de Mbujimayi sur la Route Nationale numéro 1) viennent de connaître une avancée significative. Le groupe Hassan Allam Construction and Power Generation Engineering and Services Company (l’entreprise Égyptienne qui exécute les travaux ) a entamé depuis le vendredi 10 février 2023, la pose des premiers panneaux solaires sur ce site d’une superficie de 80ha déjà aménagé, sous l’œil observateur des experts du Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI ( le bailleur des Fonds du projet), de Hassan Allam/Pegesco (l’entreprise Égyptienne qui exécute les travaux) et de Grand International (l’entreprise Kosovar qui est le Bureau de Contrôle, Surveillance et Suivi des travaux).

Cette centrale photovoltaïque va produire 10 mégawatts qui vont alimenter la ville de Mbuji-Mayi en énergie électrique avec un stockage de 5 mégawatts la nuit. Le contrôle qualité a été une réussite et a été salué par les trois parties prenantes engagées pour la réussite de ce projet énergétique. Les parties prenantes ont dû surmonter toutes les difficultés qui se sont présentées sur le chemin afin d’arriver à la matérialisation de ce projet qui prend progressivement corps. Véritable pari gagné pour Bertin MUDIMU TSHISEKEDI, actuel Directeur Général du FPI qui tient à rendre effectif ce projet dans un délai plus bref selon la volonté du Président Félix TSHISEKEDI.

Les travaux vont également consister à la construction de la ligne de transport de cette énergie électrique.

Cette centrale photovoltaïque prévue sur une superficie de 80 hectares, commence à se dessiner sur le plateau de TSHIPUKA. Sur le plan descriptif, la plateforme va accueillir 255 tables réparties en deux blocs, soit 128 tables dans le bloc gauche et 127 tables dans le bloc droit. A un détail près, chaque table sera dotée de 96 panneaux pour un total global de 24 mille 480 panneaux sur le champ voltaïque. Sur place, en ce mois de Février 2023, le montage des tables sur l’aile gauche est en train de se boucler. Les ingénieurs Égyptiens de Hassan Allam/Pegesco commis à la tâche avec un accompagnement de la main d’œuvre locale dans le cadre de l’échange des technologies, s’attellent à présent au montage des tables sur l’aile droite. Selon les prévisions, un mois suffira à l’équipe de finir avec les montages des 255 tables métalliques.

Par ailleurs, une autre opération se fait concomitamment; il s’agit de l’opération de rotation des véhicules pour l’acheminement sur site des panneaux solaires issus de 40 conteneurs en provenance de Lubumbashi dans le Haut Katanga, via MWENEDITU. Grâce à l’expertise de Trade Service, le partenaire logistique du FPI sous la facilitation de la Société Nationale des Chemins des Fers du Congo (SNCC), cette opération s’avère être un succès. À cet effet, le premier lot des panneaux solaire a été réceptionné le jeudi 09 février 2023.

Ce projet énergétique financé par le FPI à hauteur de 17 millions de dollars USD devait commencer au mois de janvier 2021 pour une exécution de 12 mois. Mais seulement, les travaux s’étaient enlisés par suite au problème dû essentiellement à l’enclavement de la ville de Mbuji-Mayi qui a dû retarder l’acheminement des livrables sur le site. Mais aujourd’hui, à la suite de l’implication personnelle du Chef de l’État, Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le goulot d’étranglement s’est délié à la grande satisfaction du Fonds de Promotion on de l’Industrie. C’est ce qu’a révélé François MPUILA MUKENDI, cadre au FPI et team leader de ce Projet.

Pendant que le site de TSHIPUKA est en train de se métamorphoser, l’attente demeure l’expédition dans le tout prochain jour des appareillages de commutation Basse Tension et Moyenne Tension qui sont fabriqués par la firme Schneider Electric.

Ce projet énergétique figure parmi tant d’autres projets structurants en développement dans l’espace Grand-Kasaï dont l’initiateur est le Président Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Il est réalisé grâce au concours du Fonds de Promotion de l’Industrie qui a été enrôlé comme autorité contractante dans la mise en œuvre de ces projets qui s’inscrivent dans le cadre du programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et la réduction des inégalités.


Publié le 14 février 2023
FPI, Visite des Projets Structurants encours d’exécution à Mbuyi-Mayi

Les Projets Structurants Encours d’Execution à Mbuyi-Mayi ne sont pas des Éléphants Blancs

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Si dans l’opinion public, il est déploré le retard connu par plusieurs chantiers et évoqué à tort ou à raison les détournements des fonds par certains conseillers de la présidence de la République, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), se défend, du moins pour les projets financés par lui, notamment les travaux de réhabilitation, de construction et de modernisation de l’école KALENDA MUDISHI, la construction de la station photovoltaïque de Tshipuka et la construction de la route Mbujimayi – Kananga. Selon les câbles proches de cet Etablissement, la responsabilité du retard connu pour l’exécution de ces projets est dû à des faits endogènes liés à l’enclavement de la Province du Kasaï-Oriental mais aussi sur la Société Nationale de Chemins de Fer du Congo (SNCC) qui devrait acheminer les matériels et matériaux de Lubumbashi (Point d’entrée au corridor frontalier) vers la ville de Mbuji-Mayi (lieu d’exécution des travaux). Face à ces réalités, le FPI exclu toute thèse de détournement des fonds alloués pour l’exécution lesdits projets et il martèle sur le fait que c’est sur autofinancement que le FPI arrive à honorer ses engagements pris dans le cadre de l’exécution du programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités lancé en date du 16 octobre 2019 en vue de sortir de la pauvreté, 20 million de congolais vivant en milieu rural et périurbain dans les 145 territoires de la République Démocratique du Congo. Programme dont l’initiateur est le Président Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.

S’agissant de la construction de la station photovoltaïque qui s’inscrit dans le programme du Chef de l’Etat de lutte contre la pauvreté et les inégalités sociale, celle-ci doit être construite à Tshipuka, à une vingtaine de kilomètres de la ville de Mbujimayi. Elle doit produire 10 mégawatts pour alimenter la population de Mbujimayi en énergie électrique la journée avec une possibilité de produire 5 mégawatts la nuit.
Le groupement Hassan Allan Construction et Power Generation Engineering and Services Company (HAC/PGESCo JV) qui a gagné ce marché de 17 millions USD financés par le FPI, devait commencer les travaux au mois de janvier 2021 pour une exécution de 12 mois. Mais seulement les travaux se sont enlisés et le livrable n’est toujours pas disponible jusque dimanche 1er janvier que le président TSHISEKEDI s’est rendu sur le site. Ce qui est visible c’est juste un terrain d’une superficie de 80ha déjà aménagé à Tshipuka et des bornes posées et quelques matériaux stockés.
D’après le FPI, 52 conteneurs des équipements de la construction de cette station photoltaïque sont arrivés à Lubumbashi, au Haut-Katanga depuis fin aout et sont bloqués faute d’acheminement par la SNCC à Mbujimayi via Mwene Ditu. Cette dernière se plaint toujours du manque des wagons disponibles et parfois elle évoque comme motif le déraillement. Seuls 9 conteneurs contenant les structures métalliques ont été acheminés récemment sur le site de Tshipuka et trois autres sont en route vers Mwene Ditu, à en croire le responsable du FPI. Pour l’instant, 40 conteneurs trainent encore à Lubumbashi. C’est ce qui explique le grand retard connu pour achever ce projet alors que la SNCC a déjà perçu son dû pour le transport.

Le même tort, la SNCC l’a causé pour les travaux de construction de la route Mbujimayi – Kananga qui devait à ce jour être asphaltée. 9 grands engins qui sont arrivés à Lubumbashi fin septembre, sont aussi bloqués. Il s’agit notamment d’une niveleuse SEM 919, d’une chargeuse SEM 655D, d’une pelle excavatrice SY 365 H, d’un compacteur SEM 510 et d’un marteau piquer. Faute de leur acheminement et celui de bitume à Mbujimayi par la SNCC, les travaux de la construction du tronçon de cette route nationale n° 1 souffrent d’exécution, explique toujours le FPI.

Quant à la réhabilitation, la construction et la modernisation de l’école KALENDA MUDISHI où le président de la République Félix TSHISEKEDI avait effectué une partie de ses études secondaires, le haut responsable du FPI exclut toute thèse de détournement de fonds comme insinué. Cette école avec au départ 21 salles de classe, devait en avoir à la fin de travaux 45, auxquelles il faudra ajouter 2 salles polyvalentes et 3 ateliers d’application pour les différentes sections organisées.
Ce projet de 3,7 millions USD contrairement à 4 millions communiqués malencontreusement, par des personnes, visiblement malintentionnées, a comme composantes : les travaux de génie civil (construction et réhabilitation des bâtiments), les équipements, le forage, la station photovoltaïque pour l’autonomie en énergie électrique, le suivi et supervision par le diocèse qui est l’Agence Locale d’Exécution (ALE), rémunéré pour ce travail. Actuellement, l’on est, comme l’a constaté le président de la République, à l’étape de finissage.

Pour conclure, le FPI dit que loin des bruits de détournements des fonds, l’opinion publique est tenue à réaliser que le tort d’acheminement des matériaux de construction vers la ville de Mbuji-Mayi demeure la cause principale à relever quant au retard constate dans plusieurs projets structurants encours d’exécution dans cette partie de la république.


Publié le 05 janvier 2023
FPI, Inauguration du Laboratoire de Recherche en Agrumiculture construit avec l’appui du Fonds de Promotion de l’Industrie

Inauguration du Laboratoire de Recherche en Agrumiculture construit avec l’appui du Fonds de Promotion de l’Industrie

FPI, Financer mieux :

Implanté dans la commune de la N’sele, le Centre de Recherche en Agrumiculture, CERAGRU, financé par le Fonds de Promotion de l’Industrie a été inauguré ce samedi par André WAMESO, le Directeur de cabinet adjoint du Chef de l’Etat. Ces fonds du FPI ont permis à la modernisation de ce Centre par l’acquisition de serres appropriées dans la Commune de la N’Sele afin de protéger les jeunes plantules en pépinière contre les bioagresseurs, et l’implantation d’un mini laboratoire spécialisé, garantissant la qualité des plantes et fruits produits tout comme celle des sols.

Au nom de la Direction Générale du FPI, le Directeur Général Adjoint, Martin Widjilowu a inscrit l’intervention du FPI dans le cadre de la Matérialisation de la vision du Chef de l’Etat qui veut la revanche du sol sur le sous sol.

Le laboratoire du Centre de Recherche en Agrumiculture, (CERAGRU asbl), financé par le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) a été inauguré le samedi 03 décembre 2022 par André WAMESO, le Directeur de cabinet adjoint du Chef de l’État Félix-Antoine TSHISEKEDI. Accompagné du Directeur Général Adjoint du FPI Martin WIDJOLOWU et d’autres invités dé marque, le Directeur de Cabinet Adjoint du Chef de l’Etat a procédé à la coupure du ruban symbolique. Cela veut dire que la RDC dispose désormais d’un laboratoire en agriculture. Une action rendue possible avec l’appui du FPI.

Le financement du FPI au CERAGRU asbl a servi à la modernisation de ce centre par l’acquisition des serres appropriées dans la Commune de la N’Sele dans la périphérie de Kinshasa. Cela, afin de protéger les jeunes plantules en pépinière contre les bio agresseurs. Ces fonds ont également servi à la construction d’un mini laboratoire spécialisé pour garantir la qualité des plantes et fruits produits tout comme celle des sols.

Ce centre de recherche, qui est l’unique en Agrumiculture compte doter la République Démocratique du Congo des plantations d’agrumes rentables et durables pour impulser la production des fruits de qualité et formaliser l’émergence d’une filière agrumicole pour lutter contre l’importation des fruits.

Le président du comité de gestion et fondateur du CERAGRU François MBILO BOMPATE voudrait que la RDC avec ses étendus de terre arables puisse être capable de produire des fruits localement et le jus des fruits pour contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire des populations.

« Nous sommes partis d’un constat. Il y avait un diagnostic au départ que nos chercheurs ont fait sur les plantations existantes, qui sont toutes décimées. Sur la situation des citrus, des agrumes dans les villages, c’est pratiquement que nous sommes arrivés à la conclusion qu’il n’y a pas de plantations, mais que ce sont les cultures des cases dans les villages et qu’il n’y avait pas non plus de suivi. Ces cultures que l’on trouve dans les pays ne sont pas issues d’une bonne base. C’est-à-dire un bon matériel qui donne un bon rendement. Dans les pays il y avait un matériel qui est scientifiquement appelé le Roulement et qui date de l'époque coloniale. C’est-à-dire 60 ans après complètement dégénéré. Donc, à partir de ce constat, nous avons décidé de commencer à produire du matériel végétal. Et c’est ainsi que vous voyez maintenant ce qui est dans les serres. Nous avons commencé, nous avons produit ces matériaux, nous les avons testés dans des plantations. Mais maintenant, avec les laboratoires et la biotechnologie, nous allons produire 1,7 million en cinq ans. 1 700 000 des plantules lancées en plantation, cela signifie que le pays pourra planter près de 4 000 hectares. Impulser la production d’agrumes et avoir les plantations d’agrumes dans le pays, c’est ce que nous visons. C’est notre mission. C’est vraiment de doter la République de champs d’agrumes à perte de vue. » a déclaré François Mbilo Bompate.

Jusqu’à ce jours, le CERAGRU a déjà livré plus de 26 milles plantes greffées dans plusieurs plantations représentant un équivalent de 65 hectares et cela pour 25 fermiers du pays. Cette production locale aura aussi l’avantage de créer des emplois et permettra au pays d’économiser des devises allouées à l’importation des fruits.

Au regard des réalisations palpables sur le terrain, le Directeur Général Adjoint du FPI a exprimé sa satisfaction quant à la matérialisation de ce projet qu’il qualifie de modèle pour la jeunesse Congolaise. Martin WIDJOLOWU a par ailleurs invité d’autres scientifiques qui ont des projets de recherche bancable à approcher le FPI qui appui aussi la recherche appliquée au pays « Il faut dire que c’est l’une des missions du FPI, celle de soutenir la recherche scientifique. Vous venez de voir le laboratoire que nous avons fourni. C’est fabuleux ce que nous venons de voir comme outil. C’est un laboratoire vraiment moderne et de dernière génération. C’est une fierté pour le FPI d’avoir financé un tel laboratoire. Nous en sommes vraiment fiers et nous sommes heureux de pouvoir réaliser ce que le Chef de l’Etat attend de nous dans sa vision de voir l’agriculture être mise au premier plan et que nous utilisons le sol plus que le sous-sol. Nous avons également demandé au directeur de ce laboratoire de le garder précieusement car il ne servira pas seulement aux champs ou à la multiplication des culture mais aussi aux jeunes qui veulent faire diverses expériences et faire des recherches. Nous les invitons à se rapprocher du CERAGRU pour leur apprentissage. »

Ce projet constitue une invitation qui doit stimuler l’attention des chercheurs, des agriculteurs et les institutions financières du pays autour des problèmes que rencontre l’agriculture en République Démocratique du Congo cela, afin de concrétiser le vœu du Chef de l’État Félix-Antoine TSHISEKEDI qui veut la revanche du sol sur le sous sol.


Publié le 06 décembre 2022
FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI assiste au chargement des équipements expédiés par l’entreprise Égyptienne Hassam Allan Pejesco et destinés à la Centrale photovoltaïque de Tshipuka

Visite à Lubumbashi de la Société MAK Industrie devenue Backs And Sacks Katanga, par le Directeur Général Bertin MUDIMU TSHISEKEDI

FPI, Financer mieux :

En séjour à Lubumbashi dans le Haut Katanga, le Directeur Général du Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI Bertin Mudimu Tshisekedi a visité les installations de la société MAK industrie, cette unité industrielle spécialisée dans la fabrication des emballages pour le transport des produits minier qui est en faillite et qui vient d’etre racheté par la société Bags and Sacs spécialisée dans la production des emballages biodégradables et recyclables qui est opérationnelle A KIMPESE, territoire de SONGOLOLO en province du Kongo Central. Le promoteur de ce projet qui vient de racheter Mak industrie sollicite du FPI un financement pour installer Bags and Sacs Katanga. Et le Directeur Général du FPI a tenu de se rendre à l’évidence en visitant les installations de MAK industrie avant de se prononcer sur le financement de ce projet qui viendra booster la production locale des emballages biodégradables et recyclables en RDC.

Dans les tous prochains jours, le chantier de la Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA dans la périphérie de la ville de Mbuji-Mayi au Kasaï Oriental dont la superficie est de 83 hectares pour l’implantation d’un champ solaire d’une capacité de 10 mégawatts et doté d’un système de stockage de 5 Mégawatts par heure, va connaitre des avancées significatives. Pour preuve, tous les équipements nécessaires pour son installation sont déjà arrivés en RDC précisément à Lubumbashi dans le Haut Katanga. Il s’agit de 52 conteneurs regroupant les structures métalliques, des panneaux solaires et bien d’autres composants pour le montage d’un champs solaire voltaïque à installer à TSHIPUKA.

Ça été annoncé depuis des mois et les négociations ont été bouclés. La société MAK Industrie, spécialisée dans la fabrication des emballages pour le transport des produits minier après une longue période d’inactivité, vient d’être racheté par la société Bags and Sacs spécialisée dans la production des emballages biodégradables et recyclables qui est opérationnelle à KIMPESE, territoire de SONGOLOLO en province du Kongo Central. De cette opération de rachat qui s’est fait sous la facilitation du Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI qui avait financé les 2 projets, MAK Industrie se migre à Bags and Sacs Katanga. Entant que facilitateur de cette négociation et en sa qualité d’Institution financière qui accompagne ces 2 grosses machines Industriels, le FPI à travers son Directeur Général, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI a tenu à se rendre à l’évidence en visitant les installations de MAK Industrie à Lubumbashi avant de se prononcer sur le financement de Bags and Sacs Katanga, ce projet qui viendra booster la production locale des emballages biodégradables et recyclables en RDC.

Reçu par le Promoteur du Projet Bags and Sacs, Monsieur Hussein Ladha, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI entouré des experts du FPI a eu à faire le tour de la propriété et des installations de la défunte MAK Industrie. Ces sont des machines devenues vétustes et désuètes par rapport à l’évolution technologique qui ont été visité par la délégation du FPI. À en croire le nouvel acquéreur du projet, le financement attendu du FPI sera affecté au renouvellement des bâtiments existants et à la mise en place des nouveaux ateliers.

La société Bags and Sacs Katanga va produire localement des emballages destinés au transport des minerais et servir en même temps les emballages pour les cimentiers et agriculteurs de l’espace grand Katanga. « L'opération d'acquisition est déjà terminée, nous sommes dans la phase d'implémentation du plan de réinvestissement et de réhabilitation des bâtiments existants. Et nous avons déjà placé des commandes pour des nouveaux marchés qui vont arriver d'ici 6 mois. Nous n'avons pas beaucoup des temps pour commencer des démarches de construction et de réhabilitation de connexion de la ligne électrique pour se préparer avant l'arrivée des machines. Nous espérons tout terminer ce mois-ci et avoir les premières productions au mois de mai prochain. » a fait savoir le Promoteur du Projet Bags and Sacs Monsieur Hussein Ladha.

FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI assiste au chargement des équipements expédiés par l’entreprise Égyptienne Hassam Allan Pejesco et destinés à la Centrale photovoltaïque de Tshipuka

Aussi, le Directeur Général du FPI a été informé du fait que la capacité globale annuelle de l’usine à installer fait une projection de 36 millions de sac vides de ciments, 12 millions de sacs vides pour les produits agricoles et 2 millions de Big Bags pour les miniers. Et sur le plan socio-économique, Bags and Sacs Katanga pourra créer environ 400 emplois directs en plus des économies des devises et de l’élargissement de l’assiettes fiscale qui en découleront. Bertin MUDIMU TSHISEKEDI l’a dit, l’accompagnement du FPI est envisageable.
« Il était question que nous venons ici à Lubumbashi pour voir de nos propres yeux la proposition nous faites par Bags and Sacs de récupérer une autre société Mak Industrie qui a des difficultés. Mais il faut le placer dans le cadre d'une politique de rationalisation afin de pouvoir améliorer la production au niveau de Lubumbashi. Vous savez qu'à Lubumbashi, il y’a beaucoup des miniers et des cimentiers également qui ont besoin d'emballages des sacs pour le transport de leurs différents produits. Et l'achat de ces emballages à l'étranger entraîne des sorties énormes à l'étranger en termes des devises en dollars. Ces sont des montants importants qui sont exportés. Maintenant avec la politique d'intégration de Mak par Bags and Sacs, il n'y aura plus des sorties des devises. Nous allons produire sur place et les miniers pourront acheter des emballages produits sur place. Il y aura comme incidence des économies que nous allons réaliser en termes des devises mais aussi la création d'emplois par l'utilisation d'une main d'œuvre locale, impôts et les taxes payés vont améliorer le budget de l'état. Les avantages sont certains que nous envisageons sincèrement de réaliser cet investissement dans le meilleur un délai. »

Pour rappel, c’est depuis 2010 que le FPI avait financé la société MAK Industrie. Cette dernière a toujours été considéré comme un canard boiteux. Elle n’a jamais atteint la capacité de production attendue d’elle. En rachetant cette industrie avec son passif, le nouvel acquéreur s’engage également de sortir MAK Industrie du portefeuille prêt du FPI. Un travail relatif à la cristallisation de la créance est en cours d’exécution.


Publié le 07 novembre 2022
FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI assiste au chargement des équipements expédiés par l’entreprise Égyptienne Hassam Allan Pejesco et destinés à la Centrale photovoltaïque de Tshipuka

Les Équipements destinés à la Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA au Kasaï Oriental, déjà en RDC via Lubumbashi

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Voulant s’assurer de l’évolution du programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et la réduction des inégalités, programme dans le quel le FPI a été enrôlé, en séjour à Lubumbashi dans la province du Haut Katanga, le Directeur Général du Fonds de promotion de l’Industrie, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI est allé assister au chargement des équipements expédiés par l’entreprise Egyptienne Hassam Allan Pejesco et destinés à la Centrale photovoltaïque de Tshipuka dont le chantier se trouve dans la périphérie de Mbuji-Mayi. Il s’agit de 52 conteneurs qui s’apprêtent à être acheminé par train à Mwene Ditu pour une destination finale à Mbuji-Mayi.

Dans les tous prochains jours, le chantier de la Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA dans la périphérie de la ville de Mbuji-Mayi au Kasaï Oriental dont la superficie est de 83 hectares pour l’implantation d’un champ solaire d’une capacité de 10 mégawatts et doté d’un système de stockage de 5 Mégawatts par heure, va connaitre des avancées significatives. Pour preuve, tous les équipements nécessaires pour son installation sont déjà arrivés en RDC précisément à Lubumbashi dans le Haut Katanga. Il s’agit de 52 conteneurs regroupant les structures métalliques, des panneaux solaires et bien d’autres composants pour le montage d’un champs solaire voltaïque à installer à TSHIPUKA.

Présentement, l’heure est au chargement sur train de Lubumbashi pour MWENE DITU. En séjour à Lubumbashi, le Directeur Général du Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI conduit par les responsables de l’agence transitaire en douane, Trade Service qui a été sélectionné par le FPI pour dédouaner et évacuer ces conteneurs expédies par l’entreprise Egyptienne Hassan Allam Pejesco qui va construire cette Centrale Photovoltaïque.

La délégation du FPI conduite par son Directeur Général a reçu de la part de l’un des partenaires de Trade service, Impala Terminals qui se charge de toute la logistique, les explications nécessaires relatives à l’expédition de ces 52 conteneurs par train vers MWENE DITU et atteindre la destination finale le chantier de TSHIPUKA. Monsieur Guy KIMENYEMBO est l’un des responsables de l’agence transitaire en douane Trade service. « Comme vous pouvez le constater, les marchandises sont arrivées à Lubumbashi et sur le plan logistique, nous faisons le maximum d'efforts pour pouvoir les acheminer le plus rapidement possible vers MWENE DITU ensuite à TSHIPUKA. Et nous accompagnerons le FPI dans la totalité du programme. Sur le plan logistique et dans les meilleurs délais comme nous venons d'avoir les explications sur le plan technique dans le minimum d'un mois, nous aurons le premier matériel sur le site. Sur le plan fiscal, il faudrait nécessairement que le ministre des Finances s'y mette notamment en termes d'exonération. Il était prévu au départ une exonération totale mais nous avons été alignés sous ANAPI, ce qui a engendré des frais non prévus et nous espérons pour la suite du projet, que le Ministre des finances mette du siens afin d'obtenir l'exonération totale. »

FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI assiste au chargement des équipements expédiés par l’entreprise Égyptienne Hassam Allan Pejesco et destinés à la Centrale photovoltaïque de Tshipuka

Très satisfait, le Directeur Général du FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI a tout de même demander aux responsables de l’agence transitaire en douane Trade Service et son partenaire en charge de la logistique, Impala Terminal de lui soumettre un chronogramme bien défini pour cette opération d’expédition vu le caractère très urgent que revêt ce projet pour répondre à un besoin très pressent de la population du Kasaï-Oriental, qui est : d’être doter d’énergie électrique. Et cela est le vœu du Président de la République Felix-Antoine TSHISEKEDI.

« Il faut considère que chez nous la distribution physique pose un problème par suite des contraintes des locomotives, des voies. Quoi qu’il en soit, les marchandises sont déjà arrivées à Lubumbashi. Nous sommes venus contacter Trade Service, l’agence transitaire en douane afin de nous donner plus au moins la programmation pour pouvoir les acheminés sur TSHIPUKA. Ils nous ont donné une estimation du programme du calendrier et nous pensons bien que les marchandises arriveront à MWENE DITU vers le mois de décembre si tout marche bien. »

Il sied de rappeler que la construction de la Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA est l’un de projet que le FPI finance intégralement en exécution du programme Congolo-Egyptien pour la construction des infrastructures structurantes dans la région du Grand-Kasaï. Et cela, dans le cadre du Programme Présidentiel Accéléré de Lutte Contre la Pauvreté et la Réduction des Inégalités.


Publié le 07 novembre 2022
FPI, Visite d’inspection des projets pilotés

Construction des écoles et hôpitaux à Mbuji-Mayi, le satisfecit de Félix-Antoine TSHISEKEDI

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

De son récent séjour à Mbuji-Mayi, dans le Kasaï Oriental, le Président de la République, Chef de l’État Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO a eu à s’enquérir de l’évolution des chantiers des projets que le Fonds de Promotion de l’Industrie effectue à Mbuji-Mayi dans le cadre du Programme Présidentiel Accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités. Faute de temps à la suite de son calendrier très chargée, le chef de l'Etat a effectué à titre d'échantillonnage les chantiers de l’hôpital Général de référence de la Muya et celui du complexe scolaire du 4 janvier. Ces sont des chantiers métamorphosés que le président de la République a retrouvé depuis son dernier passage de décembre 2021.

C’est un Félix TSHISEKEDI, Président de la République et Chef de l’Etat rassuré qu’on a vu à Mbuji-Mayi lors de la visite d’inspection des projets pilotés par le Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI dans le cadre du Programme Présidentiel Accéléré De Lutte Contre La Pauvreté et La Réduction des Inégalités.

A l'Hôpital Général de Référence de la Muya, Félix TSHISEKEDI a été informé que ce chantier à ce jour a atteint 99 pourcents des gros œuvres et 77,9 pourcents de secondes œuvres. Ce qui fait la moyenne de 88,46 pourcents de d’exécution physique des travaux.

Après la démolition totale du bâtiment principal, au total 11 bâtiments, dont 10 ont été construits et 1 a été rénové. Et une de particularité est que le bâtiment principal est en étage. Dans la vision de la modernité, l’Hôpital Général de Référence de la Muya aura 9 services tels que le bloc gynéco-obstétrique, le bloc opératoire, la pédiatrie, la médecine interne, l’imagerie, les soins intensifs, le laboratoire. On y aménage aussi des locaux pour les services généraux. Un nouveau mur de clôture avec deux accès a aussi été construit. L’Hôpital Général de la Muya aura La capacité d’accueil de 200 lits.

Un autre chantier visité par le Président de la République, c’est le qui accueille déjà, les élèves depuis la rentrée scolaire 2022-2023. Sur financement du FPI, ce chantier a atteint à ce jour, 100 pourcents des grosses œuvres et 90,7 pourcents de secondes œuvres. Ce qui fait une moyenne d’un taux d’exécution physique des travaux de 95,35 pourcents. Dans sa modernisation, le Complexe Scolaire du 4 Janvier a connu un aménagement de 5 bâtiments dont 2 ont été rénovés et modernisés, 2 nouveaux bâtiments en étage ont été construits ainsi qu’un bloc sanitaire. On y a aussi aménagé, des bureaux pour l'administration.
Pour finir, l’école compte désormais 25 salles de classe aménagées selon les normes internationales, Ce Complexe Scolaire a aujourd’hui, une capacité d’accueil de 1200 élèves par vacation soit 2400 élèves pour 2 vacations.

Il sied aussi de relever que le projet de ces infrastructures modernes seront équipées de toutes les fournitures et installations adéquates et il est également prévu l'approvisionnement en eau par forage muni d’un mini réseau de distribution pour desservir la population environnante, y compris la construction des bornes-fontaines.

Pour rappel, c'est en août 2021 que ces travaux avaient été lancés sous un financement intégral du FPI.


Publié le 31 octobre 2022
FPI, Visite de SUKI par le DGA

Avec un Accompagnement financier du FPI, la Renaissance de la Sucrerie de KIVU, (SUKI), c’est pour bientôt

FPI, Financer mieux :

Le Fonds de Promotion de l’Industrie FPI continue de jouer sa partition dans la réalisation du Plan Directeur d'Industrialisation du Gouvernement Congolais, qui s'articule autour de la création et la relance de 1000 usines d'ici 2025. C'est dans ce contexte que le Directeur Général Adjoint Sam Martin WIDJILOWU vient de conduire une délégation d'experts du FPI et ceux du ministère de l’Industrie à KILIBA, dans le territoire d'UVIRA au Sud Kivu, afin d'évaluer l'état d'avancement des activités menées à la Sucrerie du KIVU sur financement FPI, ainsi que d'identifier les contraintes liées à la matérialisation de ce projet en prélude à l'inauguration de cette sucrerie dans un avenir relativement proche.

Nous sommes à KILIBA, en territoire d'Uvira, dans la province du Sud-Kivu. En mission de travail dans cette partie du pays, le Directeur Général Adjoint du FPI, Sam Martin WIDJILOWU, à la tête d'une importante délégation d'experts de cette institution étatique, est allé évaluer le niveau d'exécution des activités menées à la Sucrerie du KIVU ainsi que de relever les contraintes liées à la matérialisation de ce projet. Le but, s'assurer de la bonne utilisation du financement obtenu du Fonds de Promotion de l'Industrie, en prélude de l'inauguration de cette sucrerie dans les prochains jours.
Au terme d'une inspection minutieuse qui a permis à la délégation de constater les résultats de la mise en œuvre de ce projet salvateur financé par le FPI, le DGA Sam Martin WIDJILOWU a exprimé sa satisfaction pour la concrétisation de ce projet qui s'inscrit dans l'objectif global poursuivi par l'institution qu'il dirige aux côtés de Bertin MUDIMU TSHISEKEDI afin d’appuyer les efforts de l'Etat congolais dans le développement des chaînes de valeur du secteur agro-industriel dans le cadre de la promotion de l'industrialisation de la RDC.

« L’amélioration de l’outil de production par rapport à l’investissement que lui a accordé le FPI, nous avons voulu la rentabiliser de cet outil afin que la population de cette contrée se retrouve dans le travail, nous n’avons pas encore atteint le lancement effectif mais 1400 emplois déjà crées, c’est encourageant nous osons croire que pendant la campagne, nous atteindrons un effectif de 2500 emplois. »

A la tête d’une équipe de supervision et des projets du FPI, Sam Martin WIDJILOWU renchérit, « Puisque le FPI a financé ce projet, le devoir de la redevabilité afin d’évaluer l’investissement et son utilisation ».

Au terme d’une ronde minutieuse de ce vaste entendu de plantation des cannes à sucre, le représentant du ministre de l’Industrie, le Directeur de cabinet Adjoint, Faustin KANINGU s’est déclaré satisfait. A l’en croire, la relance de cette usine permettra à la RDC de réduire la dépendance en sucre vis-à-vis de l’extérieur et finalement, combler définitivement ce déficit.

FPI, Visite de SUKI par le DGA

« Avoir la qualité du travail réalisé, l’espace et le terrain mis en valeur ainsi que la possibilité de création d’emplois directs et indirects, le ministre sera heureux de venir lancer la campagne de production du sucre d’ici la fin de ce mois ».

Pour Gérard TADEBOIS le Directeur Général de la Sucrerie du KIVU, « l’année dernière 2021, l’équipe pressante avait produit 200 tonnes, à notre arrivée nous avons corrigé les failles existantes et avons pris le dessus. Nous comptons démarrer d’ici le début de mois de novembre nous aurons deux mois de campagne et pensons produire au moins 200 tonnes de sucre ».

Pour les travailleurs et les habitants de la cité de KILIBA, l'horizon s'éclaircit avec la renaissance de cette usine, autrefois fleuron de l'économie de la RDC et de la région en matière de production de sucre. La reprise des activités suscite un regain d'espoir. Il faut noter qu'après cinq mois de démarrage d’essai, qui a débuté en mai dernier, la société a déjà embauché 1.400 Congolais, dans le cadre de l'emploi direct, pour une campagne d'essai qui consiste à planter et à récolter la canne à sucre sur une superficie de 1 000 hectares pour une production attendue de 3 à 4.000, comme l’explique le DG ai de SUKI.

Sucrerie du KIVU est la deuxième plus grande sucrerie de la République démocratique du Congo après celle de Kwilu-Ngongo au Kongo Central. En termes de perspectives, la sucrerie va atteindre sa vitesse de croisière avec une production estimée à environ 25 000 tonnes par an. De même, le nombre de personnes à recruter devrait doubler selon des estimations fondées pour atteindre, dans le courant de l'année prochaine, 3.000 employés directs, principalement issus des communautés locales.

C'est pourquoi l'un des leitmotivs de la direction du FPI et de la SUKI est de remettre sur les rails cette entreprise longtemps abandonnée.

Pour rappel, avec une capacité de 18.500 tonnes en 1975, la production de la sucrerie est tombée à 5 888 tonnes en 1985 en raison du vieillissement des machines et des plantations mais aussi du manque de pièces de rechange. Plusieurs interventions ont permis de construire davantage d'hectares de plantations et d'augmenter la capacité maximale de l'usine à 28.500 tonnes de sucre.


Publié le 12 octobre 2022
FPI, Refinancement du projet Bags and Sacs

Refinancement du Projet Bags and Sacs pour son Extension au Katanga, Bertin MUDIMU veut se rendre à l’évidence

FPI, Financer mieux :

Dans la programmation des projets à financer par le Fonds de Promotion de l’Industrie FPI dans les tous prochains jours, figure la société BAGS and SACKS Katanga. C’est en fait, une extension de l’usine spécialisée dans la production des emballages biodégradables et recyclables qui est déjà opérationnelle à KIMPESE, territoire de SONGOLOLO en province du Kongo Central. Un projet qui a bénéficié d’un accompagnement financier du FPI. Et avant de procéder au refinancement de ce projet dans le grand Katanga, le nouveau Directeur Général du FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI, a tenu à se rendre compte de la capacité opérationnelle de cette Unité Industrielle.

Le constat global fait sur le terrain par le patron du FPI, Bertin MUDIMU TSHISEKEDI, est que BAGS and SACKS évolue très bien. Cette société qui peut selon toute vraisemblance se targuer d'être l'une des usines modernes opérant dans la production des emballages du ciment et des produits agricoles. Elle a bénéficié de l’accompagnement du Fonds de Promotion de l'Industrie dans l’investissement et le financement.

Par cette descente aux installations de la société BAGS and SACKS, cette usine de production et commercialisation des sacs d’emballage en plastique biodégradable et recyclable destinés au ciment et aux produits agricoles qui est opérationnelle à KIMPESE, dans le territoire de SONGOLOLO, dans la province du Kongo Central.
Le Directeur Général du Fonds de Promotion de l’Industrie Bertin MUDIMU TSHISEKEDI voulait tout simplement se rassurer de la capacité opérationnelle de cette unité industrielle qui a bénéficié d’un accompagnement financier du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) afin d’envisager un refinancement de cette société qui veut s’étendre dans l’espace Grand Katanga.
À en croire le promoteur du projet, Monsieur Hussein Ladha, L'usine BAGS and SACKS veut diversifier sa production en fabricant localement des emballages destinés au transport des minerais et servir en même temps les emballages pour les cimentiers et agriculteurs de l’espace Grand Katanga.

La demande de refinancement de BAGS and SACKS est en cours d’analyse au FPI. Et le nouveau Directeur Général du FPI Bertin MUDIMU TSHISEKEDI dans sa vision managériale a voulu mener cette mission de supervision pour se rendre à l’évidence et jauger le fonctionnement de l’usine. « Si nous nous sommes déplacés dans l’accompagnement que nous devons apporter à Bags and Sacks pour l’extension de ses activités vers le Katanga. Ici à Kimpese Bags and Sacks s’occupe essentiellement des cimentiers il y a une demande importante en sacs dans le Katanga et Bags and Sacks est intéressé à pouvoir répondre aux aspirations de ces opérateurs économiques qui sont dans le secteur minier et cimentier.
Nous sommes venus nous rassurer de l’efficacité de l’investissement réalisé ici à KIMPESE pour que nous puissions l’accompagner dans la réalisation de ce même investissement dans le Grand Katanga
».

FPI, Refinancement du projet Bags and Sacs

Le constat établit par Bertin MUDIMU TSHISEKEDI en visitant toute la chaîne de production de celle usine est que BAGS and SACKS fonctionne très bien. Les outils de production installés s’alignent parfaitement aux normes internationales. Et sa production permet à la République de combler le besoin en importation de cimenteries existantes estimées à plus de 3 millions de sacs par an et voire des pays environnants. Aussi, l’usine a créé plus de 250 emplois directs et contribue également à l’élargissement de l’assiette fiscale et à l’économie de devises affectées à l’importation des emballages.

« Nous avons vu l’investissement tel qu’il a été réalisé et cela nous pousse à dire que c’est un investissement qui a une importance capitale pour la RDC.
Lorsque BAGS and SACKS n’était pas là, toute la production des sacs d’emballages de ciments était importée de l’extérieur. Lorsqu’on importe il y a une dépense en devise qu’on réalise. Avec la présence de Bags and Sacks la production se fait ici sur place il y a maintenant une économie qu’on réalise en ce qui concerne les devises.
Sur le plan économique, nous n’arrivons pas à dépenser l’argent pour les devises. La présence de Bags and Sacks a permis de créer de l’emploi pour les Congolais. On m’a parlé de 250 personnes pris en charge par Bags and Sacks.
Il y a également des impôts et les taxes que l’état parvient à dégager sur le profit et bénéfices. Il faut aussi évoque les effets induits. Bags and Sacks peut provoquer l’attrait d’autres investissements tout autour.
»

Et qu’en est-il de l’évolution des négociations entamées en vue d’une éventuelle reprise de la société MAK Sarl spécialisée dans la fabrication des emballages pour le transport des minerais. Installée à Lubumbashi ? La question a été posée à Monsieur Hussein Ladha le promoteur du projet Bags and sacs

« Nous avons déjà signé l’accord avec MAK Sarl pour le rachat. Maintenant on va procéder à la deuxième étape sur le plan d’investissement. Je suis très heureux de la visite du Directeur Général du FPI, ici à KIMPESE pour discuter des prochaines étapes en vue de mettre en marche le plan d’investissement et réaliser notre objectif de démarrer dans six mois.
Nous avons toujours besoin de l’accompagnement sur le nouveau projet. Et le Directeur Général du FPI nous a rassuré son accompagnement.
»

Pour la petite histoire, C’est depuis 2010, que le FPI avait financé la société MAK Sarl à Lubumbashi. Mais cette industrie connait des difficultés énormes. Les machines sont même devenues désuètes par rapport à l’évolution technologique et même au besoin du marché.
Voilà qu’aujourd’hui, BAGS and SACKS de KIMPESE veut acquérir MAK Sarl pour moderniser l’usine et créer de l’emploi tout en doublant la capacité de production.
En termes d’investissement, BAGS and SACKS pourrait injecter 15 à 16 millions USD pour la redynamisation de MAK Sarl et qui deviendrait alors BAGS and SACKS KATANGA. Et cette extension va participer à l’émergence de l’économie de la RDC. Pour ce faire, l’accompagnement du FPI dans l’investissement et le financement est très attendu.


Publié le 11 octobre 2022
FPI, Visite de la ferme Congo Œuf

Protection et promotion de l’industrie locale : le D.G. a.i. du FPI plaide pour l’accompagnement des operateurs économiques du Haut Katanga.

FPI, Financer mieux :

Dans sa mission de supervision des industries financées par le Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI dans la province du Haut Katanga, le Directeur Général intérimaire Jean-Claude KALENGA MAKONGA vient de séjourner dans la ville de Lubumbashi. Sur place dans la ville cuprifère, plusieurs projets opérationnels ont été visités par la délégation du FPI pour s’enquérir de l’évolution de leurs activités. Parmi ces industries visitées, figurent l’usine de fabrication d’emballages MAK-Industrie sarl, la Boulangerie Alegria, la Charcuterie Manoah, l’usine de peinture Eurolux, la Minoterie des Établissements Mukalayi et la ferme avicole Congo Œuf.

Le constat global révèle que la production locale souffre d’une concurrence déloyale de la part des importations extérieures ainsi que d’un manque d’accompagnement des autorités gouvernementales.

La première industrie visitée est la société MAK sarl spécialisée dans la fabrication des emballages pour le transport des minerais. Cette unité connaît actuellement des difficultés d’ordre opérationnel. Réalité qui a conduit cette dernière d’entamer des négociations avec une autre industrie spécialisée dans la production des emballages biodégradables, installée dans la province du Kongo Central, Bacs and Sacs cela, en vue d’une éventuelle reprise. En termes d’investissement, Bags and Sacks pourrait injecter 15 à 16 millions USD pour redynamisation MAK Sarl et qui deviendrait alors Bags and Sacks Katanga apprend-t-on. Cette opération pourra être rendu possible sous la facilitation du FPI.

« C’est depuis 2010, que le FPI a financé MAK mais elle ne produit pas. Elle a des difficultés. Les machines sont même devenues désuètes par rapport à l’évolution technologique et même au besoin du marché. Nous avons là, un promoteur qui veut acquérir Mak Sarl pour moderniser l’usine et créer de l’emploi tout en doublant la capacité de l’usine de Bags and Sacks de Kimpese. Il sollicite notre appui comme arbitre pour leur permettre de parvenir à cet arrangement et ensuite comme support financier », a déclaré Jean-Claude KALENGA MAKONGA.

Autres unités visitées, sont : la boulangerie Alegria et la charcuterie Manoah. Deux projets financés intégralement depuis plusieurs années par le FPI. La boulangerie connait un arrêt de production. Tandis que la charcuterie elle, peine à tourner normalement. Stone KUMBI promoteur de ces deux projets a fait un plaidoyer. « Il y avait des entreprises qui étaient exonérées et d'autres non exonérées. Une concurrence déloyale. Alors que nous nous retrouvions sur le même marché. Et c’était difficile pour nous de progresser. Maintenant qu’il y a une stabilité et s’il n’y a pas d’exemption nous aurons la facilité d’avancer. Toutes les machines que vous avez vu ici fonctionnent normalement, nous n’avons besoin que de fonds de roulement pour pouvoir relancer l’activité de la boulangerie », a dit le promoteur.

Du côté du FPI, on pense qu’il faille réétudier minutieusement le cas de ces deux projets financés et réalises qui sont aujourd’hui des projets en péril.

Aux établissements Mukalayi, où l’on produit de la farine de maïs, il a été confié à la délégation du FPI que cette unité dispose à ce jour, d’une capacité de production de 1000 à 1500 sacs par jour. Cette minoterie reste confrontée au problème d’approvisionnement en matière première essentiellement le maïs afin de tourner à plein régime et nourrir une grande partie de cette province.
S’inscrivant dans l’optique de la revanche du sol sur le sous-sol ainsi que de la sécurité alimentaire, le Directeur Général intérimaire du FPI souhaite voir cette industrie se redynamiser pour une production locale avérée.

L’industrie Eurolux Wantashi qui produit localement 560 litres de peinture par jour est elle aussi confrontée à la concurrence des produits importés de la Chine et des pays voisins. Pourtant, Eurolux a déjà fourni des quantités de peinture utilisées dans quelques édifices publics dans la ville cuprifère à la grande satisfaction de la population. Et comme dans d’autres industries visitées, Eurolux Wantashi souffre d’un accompagnement du pouvoir public pouvant lui faciliter d’être réellement compétitive. Loin de faire une promesse mais s’inscrivant dans ses missions, le Directeur Général intérimaire insiste sur la revalorisation de l’industrie locale.

FPI, Visite de Eurolux Wantashi

La délégation conduite par Jean-Claude KALENGA MAKONGA a aussi visité la ferme Congo Œuf qui œuvre dans l’élevage des poules pondeuses et la production d’œufs. Cette ferme qui a bénéficié d’un accompagnement financier du FPI dispose de plus de 300.000 poules pondeuses et produit 6 millions d’œufs par mois et 200.000 par jour. Ici, la note est positive. Et Jean-Claude KALENGA n’a pas manqué d’encourager le promoteur pour le travail qui est abattu.

Sommes toutes, les plaintes des promoteurs industriels transmises au FPI ont été bien reçues et transmises ensuite par le Directeur Général par intérim du FPI au Gouverneur de la province du Haut-Katanga Jacques KYABULA KATWE lors d’un tête-à-tête. Le souhait émis par le FPI est de raffermir la chaine de valeur dans le circuit industriel du Haut-Katanga a conclu Jean-Claude KALENGA MAKONGA.

Dans un autre registre, avant de quitter Lubumbashi, le Directeur Général intérimaire du FPI a échangé avec le transitaire douanier " Trade service " ainsi qu’avec le responsable de la Société Nationale de Chemin de Fer du Congo, SNCC pour anticiper et accélérer l’évacuation des conteneurs des matériels des projets du Programme Présidentiel Accéléré de Lutte contre la Pauvreté et la Réduction des Inégalités dans la région du Grand Kasaï en provenance de l’Egypte. Il s’agit pour ce premier lot, des matériels de la centrale photovoltaïque de Tshipuka et de la route Mbuji-Mayi-Kananga.

« Nous avons la capacité requise pour transporter tous ces conteneurs en un seul voyage », a rassuré Jacques KAMENGA, Directeur Général Adjoint de la SNCC.

Ces assurances reçues de la part de la SNCC fortifient le FPI qui a été enrôlé comme bailleurs de fonds principal pour la matérialisation de ce Programme Présidentiel dans le Grand Kasaï. Signalons par ailleurs que sur le terrain, au Kasaï Oriental, dans le cadre de la matérialisation de ce Programme Présidentiel, deux chantiers sont déjà ouverts. Il s’agit de celui de la construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga avec le groupe Egyptien Samcrete et de la Centrale Photovoltaïque de Tshipuka exécuté par le groupement Égyptien Hasam Allam Pgesco.
Avec l’arrivée prochaine des matériels en provenance de l’Egypte, les travaux ne feront que s’accélérer davantage.


Publié le 23 août 2022
FPI, Visite de la Sté BAGS & SACS au Kongo Central par le D.G.

Le Directeur Général intérimaire Jean-Claude KALENGA MAKONGA a visité la société BAGS & SACS installée dans la province du Kongo Central

FPI, Financer mieux :

Après une période mouvementée marquée par des pluies torrentielles qui ont rendu le travail presque impossible, couplée à la pandémie de coronavirus et d'autres défis, la société BAGS&SACS installée dans la province du Kongo Central a finalement lancé ses activités il y a près de deux mois.

Cette société qui peut selon toute vraisemblance se targuer d'être l'une des usines modernes opérant dans la production des emballages du ciment et des produits agricoles. Elle a bénéficié de l’accompagnement du Fonds de Promotion de l'Industrie dans l’investissement et le financement.

UN FONCTIONNEMENT FORTEMENT APPRÉCIÉ

C'est un signal fort et positif que lance le management du Fonds de Promotion de l'Industrie, une institution publique qui a pour mission l’industrialisation de l’économie congolaise. « Je suis très satisfait », a déclaré le directeur général intérimaire du FPI Jean-Claude KALENGA MAKONGA après le constat encourageant à l’issu de visite qu’il a effectuée le lundi 25 juillet dans les locaux de la société SACS et BAGS à Kimpese, dans la province du Kongo central. Le patron du FPI, s’y est rendu, accompagné de quelques cadres et agents du FPI afin de jauger le fonctionnement de l’usine.

« Je suis agréablement surpris. L'espace que je viens de visiter reflète le professionnalisme », a-t-il souligné avant d’affirmer au passage que cette entreprise n'a rien à envier aux autres sociétés de production qu'il a eu à visiter sous d'autres cieux. Les outils de travail trouvés dans cette usine s’alignent parfaitement aux normes internationales.

Le numéro un du Fonds de Promotion de l'Industrie, qui s'est donné pour mission hardie de hisser les industries congolaises au rang de leurs concurrentes internationales, a également fait savoir qu'au regard de ce qu'il a eu à constater dans les installations de l'usine BAGS et SACS, en visitant toute la chaîne de production de celle-ci, des matières premières aux produits finis, l'usine fonctionne très bien, notamment grâce à son laboratoire qui s’attelle sur le contrôle de qualité.

FPI, Visite de la Sté BAGS & SACS au Kongo Central par le D.G.

Chaque étape est respectée jusqu'à présent, a rassuré le directeur général par intérim du FPI Jean-Claude KALENGA MAKONGA, revenant sur les clauses d'entente entre l'institution qu'il dirige et la société de production BAGS & SACS. « Nous sommes dans un cheminement commun qui fait que chaque étape est respectée par BAGS & SACS ce qui nous permet en même temps de réaliser une de nos missions, notamment celle de promouvoir l'industrie locale pour essayer de réduire tant soit peu les importations et créer surtout une intégration industrielle. Et nous avons déjà cela ici avec la production des sacs et tout autour nous avons des entreprises demanderesses de cette production », a expliqué Jean-Claude KALENGA MAKONGA, revenant à l'occasion sur l'objectif de voir le marché de cette entreprise s'étendre au-delà de la province du Kongo Central vers d'autres provinces, notamment vers la région du Grand Katanga où les demandes sont également beaucoup plus pressantes.

UNE VISION DU CHEF DE L'ETAT QUI PREND FORME

Bien que les données fournies par le FPI établissent le financement reçu par BAGS&SACS à hauteur de 3,5 millions de dollars US, le Directeur Général intérimaire du Fonds de Promotion de l’Industrie a assuré que ce projet a également bénéficié du soutien constant de la part du Ministre Julien PALUKU KAHONGYA ainsi que du Premier Ministre et Chef du Gouvernement SAMA LUKONDE. Tous deux désireux de concrétiser la vision du Président de la République et Chef de l'État qui insiste sur le «concret».

« Nous comptons sur notre gouvernement, comme l'a annoncé le ministre de l'Industrie Julien PALUKU. Le Premier ministre pourra aussi voir le chef de l'État Félix Antoine TSHILOMBO. Ceci est sa vision », a déclaré le DG KALENGA MAKONGA, revenant sur la question de l'extension de la BAGS&SACS.
« Le chef de l'État veut que nous soyons dans le concret et ici nous le sommes réellement car nous produisons déjà localement », a-t-il ajouté.

UNE INSPIRATION POUR DES ENTREPRENEURS ET INDUSTRIELS CONGOLAIS

La société BAGS&SACS peut-elle constituer une source d'inspiration pour les entrepreneurs et industriels congolais ? C'est ce qu'espère le directeur général par intérim du FPI. Pour Jean-Claude KALENGA MAKONGA, « les entrepreneurs congolais devraient suivre exemple sur BAGS&SACS, car elle crée des emplois ». L'entreprise emploie déjà au moins 200 Congolais, a-t-il dit.
« Il y a trois équipes. Si l'on considère l'ensemble des équipes, elles peuvent même aller jusqu'à 1200 employés ».

Jean-Claude KALENGA MAKONGA est également revenu sur la controverse autour du financement des entreprises tenues par les expatriés. « Les entreprises sont congolaises. Mais il y a aussi des expatriés à la peau blanche qui sont congolais dans l’âme. Et rien n'empêche les Congolais qui ont beaucoup plus de moyens que même ceux qui viennent investir dans notre pays de se lancer dans des matières productives », a-t-il exhorté.
« Nous attendons qu'ils viennent avec des projets bancables pour l'industrialisation de notre pays au lieu de se plaindre sur la toile ou dans les médias. Nous sommes ouverts. Et qu'ils viennent chercher l'expérience et les conseils auprès de ceux qu'ils appellent les expatriés pour qu'ils investissent aussi dans le secteur de la production. Le pays est vierge. Nous les attendons dans nos guichets et nous allons les soutenir. Cela reste dans la vision du Chef de l'Etat qui voudrait créer des millionnaires dans notre pays », a-t-il expliqué.

FPI, Visite de la Sté BAGS & SACS au Kongo Central par le D.G.

Il est à noter que la société BAGS&SACS a une capacité de 4 millions de sacs produits mensuellement. La vente de ses emballages, de surcroîts, biodégradables et recyclables, a été officiellement lancée par le ministre de l’industrie Julien PALUKU KAHONGYA le 25 mai 2022, à Kimpese, au Kongo Central .

À en croire, Monsieur Hussein Ladha, promoteur du projet et qui s’est dit heureux de l’accompagnement et du suivi du Fonds de Promotion de l’Industrie, ils ont fini avec le raccordement de la ligne électrique, l'installation des machines et la formation du personnel. « « Je suis très satisfait. C'est ma huitième usine en Afrique dans six pays. Ce que j'ai vu ici est très encourageant pour l'avenir et pour tout le pays [...] Nous remercions le FPI et le ministère de l'Industrie. C'est grâce à leur soutien et à leurs encouragements que nous sommes arrivés à ce stade », a-t-il déclaré.

La construction et l’installation de l’usine BAGS et SACS ont débuté en 2019. Les fortes pluies qui se sont abattues sur la région en décembre de la même année, suivies de la pandémie mondiale de Covid-19 et le confinement ont entraîné un retard important dans le début des travaux. De plus, l'un des plus grands défis rencontrés sur le terrain a été le problème de l'électricité. Ce problème a été résolu il y a deux mois avec la construction d'une ligne de 10 kilomètres. Actuellement, la société a pu signer des contrats avec d’autres usines évoluant en RDC, notamment celles du domaine de la cimenterie. Et le rôle du Fonds de Promotion de l'Industrie dans ce projet a été d'accompagner cette entreprise dans l'investissement et le financement. .


Publié le 03 août 2022
FPI, Construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga.

Construction, Réhabilitation et Modernisation des infrastructures Structurantes à Mbuji-Mayi : Le DG a.i. du FPI recommande l’accélération de Travaux

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Le Directeur Général par intérim du Fonds de Promotion de l'Industrie, lors de sa récente visite dans la ville de Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental, s'est enquit de l'état d'avancement des projets financés par son institution dans cette partie du pays, notamment sur des sites où des infrastructures scolaires et sanitaires sont en cours de construction ou de réhabilitation dans le cadre du Programme Présidentiel Accéléré de lutte Contre la Pauvreté et la Reduction des Inégalités.

Au terme d’une ronde minutieuse, Jean-Claude KALENGA MAKONGA a confié que le constat global soutient que les différents chantiers progressent rapidement. En effet, actuellement le taux d'exécution physique des grands travaux varie entre 65 et plus de 80%, ce qui motive le Directeur Général du FPI à exhorter les entreprises exécutantes à accélérer les travaux de finition dans l'objectif d'utiliser ces infrastructures scolaires à la prochaine rentrée scolaire.

« Il faut qu'ils prennent le temps d'accélérer le rythme et d'augmenter l'équipe pour que nous puissions être en mesure de livrer les ouvrages aux enfants afin qu'ils reprennent leurs cours dans des salles de classe flambant neuves pour la rentrée scolaire qui se profile à l'horizon », a déclaré le patron du FPI, qui suit évidemment de près l'exécution des travaux de ces ouvrages d'intérêt public.

Pour KALENGA MAKONGA, qui a annoncé organiser pour ce faire une réunion avec les responsables des quatre sites pour qu'ils respectent leurs engagements et s'en tiennent à ce que leur a dit le directeur de cabinet du président de la République, « le constat n'est pas le même partout et la vitesse d'avancement est encore différente ». Il estime qu'il est temps de maximiser la pression, d'autant plus que les fournitures et les approvisionnements qui faisaient défaut sont déjà disponibles sur le terrain.

Les sites concernés sont respectivement deux complexes scolaires, dont celui du 4 janvier et celui de KALENDA MUDISHI. Sur le premier site, la délégation conduite par Jean-Claude KALENGA MAKONGA a constaté avec satisfaction que le taux d'exécution des travaux de gros œuvres est de plus de 80 %. L'aménagement de 5 bâtiments, dont 2 à l'étage, est achevé. Ce complexe scolaire comptera 25 salles de classe aménagées selon les normes, réunissant toutes les conditions favorables avec notamment des locaux carrelés, y compris la pose d'un plafond. Cette infrastructure scolaire aura une capacité d'accueil de 1200 élèves par vacation, soit, 2400 élèves pour les deux vacations à raison de l’avant midi et l’après midi.

FPI, Construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga.

Au niveau de la deuxième infrastructure scolaire, le taux d'exécution des travaux de gros œuvre est estimé à 65%. Actuellement, les travaux se concentrent sur l'aménagement des 13 bâtiments, dont 10 sont neufs et 3 ont été rénovés. Le complexe scolaire KALENDA MUDISHI comptera 45 salles de classe avec une capacité de 48 élèves par salle, pour une capacité de 2.160 élèves par équipe, soit 4.320 élèves pour les deux équipes.

Au-delà des écoles, le patron du FPI a également effectué une visite d’inspection dans les sites où sont en train d’être érigée ou réhabilitées deux hôpitaux généraux de référence. À l'hôpital de Saint Jean-Baptiste de KANSELE, le constat fait par KALENGA MAKONGA indique que le gros œuvre est réalisé à un taux de 65%. Au total, 10 bâtiments, dont 7 ont été construits et 3 autres rénovés. Cet hôpital disposera de 12 services, d'une morgue d'une capacité de 60 corps et d'une capacité d'accueil de 200 lits. Sur le même site, un autre bâtiment est en cours de construction pour abriter les services d'une unité de transfusion sanguine, qui fonctionnera directement comme un centre de transfusion des patients. Ici, le taux d'exécution des travaux de gros œuvre est de 100%.

Parallèlement, à l'Hôpital Général de Référence de la MUYA, le taux d'exécution des travaux de gros œuvre est de 95%. Cette infrastructure sanitaire compte aujourd'hui 11 bâtiments, dont 10 ont été construits et 1 rénové. L'hôpital disposera de 9 services avec une capacité de 200 lits.

Par ailleurs, il convient de souligner que toutes ces infrastructures modernes seront dotées de fournitures et d'équipements adéquats pour le bon fonctionnement de tous les services et la prise en charge des étudiants et des patients. Il est également prévu que chaque site soit alimenté en eau par un forage avec un mini réseau de distribution pour desservir la population environnante, avec notamment la construction de bornes fontaines. Enfin, tous ces sites seront alimentés en électricité soit par un raccordement au réseau de la SNEL, soit par une énergie renouvelable issue de panneaux solaires et d'énergie thermique.


Publié le 18 juillet 2022
FPI, Construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga.

Construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga : le DG a.i du FPI se félicite du démarrage des travaux

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Les travaux de construction de la route nationale n°1 dans son axe Mbuji-Mayi-Kananga ont bel et bien débuté. En prélude au lancement officiel de ces travaux, le Directeur Général a.i. du FPI s'est rendu en mission de travail dans le fief du Kasaï Oriental le vendredi 15 juillet pour constater l'avancement des travaux.
« Aujourd'hui, je peux vous dire que la construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga a commencé », a déclaré Jean-Claude KALENGA MAKONGA, le Directeur Général du Fonds de Promotion de l’Industrie, précisant que son déplacement dans cette partie de la République était précurseur à l’avènement du Président de la République qui pourra disponibiliser son agenda pour le lancement officiel de ces importants travaux, entrain d’être réalisés par le groupe SAMCRETE.

Le numéro un du FPI dit par ailleurs avoir voulu confirmer lui-même si l'entreprise SAMCRETE a suffisamment aligné les équipements adéquats pour démarrer mais aussi si les bureaux de contrôle et de suivi sont en ordre. Jean-Claude KALENGA MAKONGA s'est de ce fait rendu sur le terrain pour s'assurer qu'il ne s'agit pas seulement d'une question de première pierre. « Vous savez que notre ministre de l'Industrie a toujours dit que nous ne voulons plus de premières pierres, nous voulons que les autorités viennent inspecter l'avancement des travaux, et les travaux ont commencé », a-t-il expliqué.

« Je peux déjà voir aujourd'hui qu'ils ont commencé les travaux d'un côté pour permettre la fluidité de la circulation. Ils feront de même pour l'autre côté, après le premier lot. Et à l'extérieur de la ville, il y aura des déviations mais ici je pense qu'il faut tout faire par rapport au lancement officiel et la population comprendra qu'elle doit laisser les sociétés faire leur travail », a déclaré Jean-Claude KALENGA MAKONGA, qui a émis le souhait de voir aussi les habitants s'approprier le projet du Président de la République, Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, qui prêche par des actes et des actions.
« La population doit aussi prêter main forte aux sociétés qui font les travaux », a-t-il exhorté.

FPI, Construction de la route Mbuji-Mayi-Kananga.

Du côté de l'entreprise qui réalise les travaux, le groupe Égyptien SAMCRETE a rassuré que cette route sera construite dans le strict respect des normes requises pour une infrastructure routière moderne. « Je vous assure que ces routes seront de meilleure qualité. Nous voyons tellement le problème de transport à Mbuji-Mayi », a déclaré RAMI BASSIM, directeur national de SAMCRETE en RDC, rassurant ainsi les sceptiques

« Nous avons nous-mêmes des problèmes pour avoir des équipements et des matériaux. Nous travaillons pour terminer en 33 mois afin que cela aide les habitants de Mbuji-Mayi à mieux se connecter aux autres régions. Nous avons déjà commencé. Comme vous pouvez le voir, nous avons déjà des équipements et des engins sur le site. Nous avons commencé ici et après deux kilomètres, nous travaillerons sur la moitié de la route à droite pour permettre la circulation à gauche et nous ferons aussi l’autre côté pour que les gens puissent se mouvoir facilement », a-t-il ajouté.

Une autre déclaration rassurante provient d'un autre acteur clé du projet, la société de contrôle et de surveillance Grand International. Ce groupe kosovar rassure de garder un œil attentif sur le suivi de l'exécution, a déclaré FERID PEROLLI, représentant de ce bureau de contrôle en RDC. « Nous sommes ici pour être sûrs que le travail marche et se fait dans la meilleure qualité à poursuivant le standard du contrat. nous sommes en collaboration avec SAMCRETE. Et nous voyons que le chantier a bien démarré et nous allons poursuivre avec le même élan ».

Le projet de construction et d'aménagement de cette route de 188 km, qui s'inscrit dans le cadre du programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités, a pour objectif de désenclaver et de fluidifier le transport vers les points de consommation provinciaux et nationaux entre les 2 provinces du Grand Kasaï. Sur le terrain où des engins compacts, d’extraction, de chargement, de nivellement et de compactage sont déjà en action, le projet a atteint les phases du traçage et de nivellement de la route, à en croire le management du Fonds de Promotion de l’Industrie qui vient ainsi de joindre l’acte à la parole.

Il faut noter que la direction du FPI compte entreprendre d'autres projets dans la région du Grand Kasaï en plus de ceux déjà en cours, notamment celui de construction des routes. Ces points étaient à l'ordre du jour d'une rencontre entre le Directeur Général par intérim du FPI et le Gouverneur du Kasaï Oriental, Mathias KABEYA, avant que Jean-Claude KALENGA MAKONGA ne boucle sa mission dans le Grand Kasaï.


Publié le 18 juillet 2022
FPI, Exécution des gros œuvres des chantiers des hôpitaux et des écoles

MBUJIMAYI : LE TAUX D’EXÉCUTION DES GROS ŒUVRES DES CHANTIERS DES HÔPITAUX ET DES ÉCOLES VARIE ENTRE 60 ET 80 POURCENTS

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Alors que la construction et la réhabilitation des écoles et des structures sanitaires financées par le Fonds de Promotion de l'Industrie (FPI) se poursuivent à MBUJIMAYI, fief du Kasaï Oriental, plus de 10 mois après le lancement, certaines personnes aux intentions obscures tiennent un discours négatif et émettent des critiques acerbes, particulièrement sans fondement.

Le FPI déplore le fait que ces personnes, qui ne sont manifestement motivées que par une recherche invétérée du sensationnel et, surtout, ne s'appuyant sur aucun fait observable et vérifiable, s'emploient à salir et à démolir la réputation de la société et de son équipe dirigeante pour des raisons inavouées. L'institution estime que la polémique autour de ces infrastructures structurantes devrait cesser.

De ce fait, le Directeur Général a.i. de cet Etablissement de l’État, Jean-Claude KALENGA MAKONGA a, d’un ton ferme dans une interview accordé à la presse, rassuré l’opinion en mettant un terme à toutes les fausses versions qui courent les rues. « Le FPI travaille dans l'esprit de la modernisation tout en s'alignant derrière la vision du Chef de l'Etat qui est l'initiateur de ces projets », a-t-il d’emblée déclaré, indiquant au passage que la petite inquiétude qu'il y avait est en train d'être résolue.

À l’en croire, le ralentissement de la réalisation des différents ouvrages est dû à une réalité exogène et conjoncturelle rencontrée sur le terrain, notamment le problème d'approvisionnement de la ville en matériaux de construction.

FPI, Exécution des gros œuvres des chantiers des hôpitaux et des écoles

« Vous savez quand le Chef de l'État a initié ce programme, il a insisté pour que les entreprises locales participent à l'exécution et que nous injections des capitaux dans l'économie locale. Et nous avons peut-être aussi un peu surestimé la capacité des opérateurs économiques locaux qui s'est avérée un peu faible parce que ces opérateurs économiques ne pouvaient pas suivre le rythme des chantiers à Mbujimayi », a déclaré d’entrée de jeux le DG par intérim du Fonds de Promotion de l’Industrie.

Au même moment, Jean-Claude KALENGA MAKONGA a affirmé que tous les sacs de ciment qui étaient en stock dans la province ont été utilisés au même titre que d'autres matériaux de construction. « La difficulté, je pense, est que les opérateurs économiques de ce coin de la République n’avaient jamais été confrontés à de tels chantiers et qu'ils n'étaient pas habitués à se réapprovisionner proportionnellement à la nouvelle demande. Vous savez aussi que les voies de communication entre Lubumbashi et Mweneditu sont très compliquées par ce temps », a par la suite déclaré Jean-Claude KALENGA MAKONGA, soulignant également qu’avec la Société Nationale des Chemins de Fer du Congo SNCC, la capacité de l’évacuation des matériaux de la première ville vers la seconde a aussi posé un problème

Ainsi, pour remédier à ce petit contretemps, le directeur général par intérim du FPI assure avoir pris contact avec les opérateurs de la FEC, notamment les armateurs qui sont dans le transport et les opérateurs économiques qui sont dans le ciment. « Nous avons eu des séances de travail qui ont permis de résoudre ce problème. Quand mes équipes du FPI sont allées à Mbujimayi, le sac de ciment était à 45$, il n'y en avait surtout pas. Et aujourd'hui je pense que si vous avez les bonnes informations, il est déjà autour de 30$ ».

Jean-Claude KALENGA MAKONGA, qui a rassuré que la construction des infrastructures inscrites dans le Programme présidentiel n'est pas une chimère, a par ailleurs affirmé que la situation s'améliore et que des bateaux se dirigent vers Mbujimayi avec des matériaux de construction. « Je peux citer Nasser, EntreKonga et de l'autre côté aussi SNCC qui fait les efforts nécessaires pour approvisionner la ville de Mbujimayi en matériaux de construction. L'état d'exécution physique est globalement supérieur à 50%. Pour certains chantiers, il est de 70% et le chantier le plus avancé est à 88% du taux d'exécution mais ça avance bien, nous sommes confiants que les délais seront respectés. S'il y a des prolongations, cela peut être un mois ou trois semaines. Pour ma part, à mi-parcours, je suis satisfait du travail qui est fait. Vous avez vu les images, laissez les images parler d'elles-mêmes et laissez les faits sur le terrain parler aussi d'eux-mêmes » a-t-il dit.

FPI, Exécution des gros œuvres des chantiers des hôpitaux et des écoles

Aussi, concernant le lancement des travaux de la route nationale numéro 1 dans son axe entre Mbuji-Mayi et Kananga ainsi que l'entreprise chargée de l'exécution des travaux, Jean-Claude KALENGA MAKONGA a déclaré que la société Egyptienne SAMCRETE, connue pour ses réalisations, notamment la construction des routes, des autoroutes, des ponts ainsi que des aéroports au Moyen-Orient et particulièrement à Dubaï, a déjà reçu les frais de démarrage et la société est actuellement en phase de déploiement des matériaux. « C'est une entreprise qui a beaucoup d'expérience. Nous avons libéré les premiers acomptes, mais vous savez que lorsque vous libérez les premières tranches, vous donnez un délai à l'opérateur pour pouvoir mobiliser et préparer le site en premier, et nous sommes dans cette période. Dans la première quinzaine de juillet 2022, vous serez témoins de ce qui va se passer sur le terrain ».


Publié le 06 juillet 2022
Inauguration de 2 usines de production des tuyaux HDPE et de recyclage des huiles usées

Développement industriel dans le Haut Katanga : Julien PALUKU inaugure deux usines de production des tuyaux HDPE et de recyclage des huiles usées.

FPI, Financer mieux :

Le ministre de l’Industrie Julien PALUKU a procédé le mardi 14 juin à Lubumbashi, dans le Haut-Katanga, à l’inauguration de deux usines et à la pose de la première pierre de construction d’une unité de production de Câbles électriques (en cuivre et aluminium) et poteaux électriques de l’Entreprise Mining Engineering Services (MES).
La première usine inaugurée, CONGO PIPING est spécialisée dans la fabrication de la tuyauterie industrielle et domestique sur base du polyéthylène. La seconde usine produit de l’huile de qualité moyenne provenant du recyclage des huiles usées. Cette huile peut servir de carburant pour des unités industrielles en remplacement de l’essence et du Gaz oïl.

Accompagné du Directeur Général a.i. du Fonds de Promotion de l’Industrie, Jean-Claude KALENGA, le Ministre Julien PALUKU a aussi visité une autre usine du même groupe, déjà opérationnelle qui recycle les batteries usées et mitrailles de cuivre. Cette dernière usine avait reçu un appui financier du FPI.

Dans la province du Haut Katanga, à Lubumbashi, le groupe Mining Engineering Services - MES, lui-même membre du groupe SOMIKA se distingue dans le secteur de l’industrie. Le Mardi 14 juin 2022, le Ministre de l’Industrie Julien PALUKU qui s’est fait accompagner de plusieurs personnalités, notamment le Vice-Gouverneur du Haut Katanga, KAMFWA KIMIMBA et le Directeur Général a.i. du Fonds de Promotion de l’Industrie FPI, Jean-Claude KALENGA a procédé à l’inauguration de l’usine de production CONGO PIPING qui est spécialisée dans la fabrication de la tuyauterie industrielle et domestique sur base du polyéthylène. Cette usine aura une capacité de production de 50.000 tonnes par an.
Les tuyaux en polyéthylène de haute densité, HDPE sont parmi les principaux moyens de transport de fluides notamment : de l’eau, des produits chimiques et des gaz. L’un des avantages de l’utilisation de ces tuyaux en HDPE est qu’ils sont non corrosifs et 6 à 8 fois plus léger que les tuyaux classiques faits en fonte et en fer galvanisé.

CONGO PIPING a aussi sollicité du FPI, un accompagnement financier pour le renforcement des capacités de sa production. Le dossier est en cours d’analyse pour un éventuel financement.

Inauguration de 2 usines de production des tuyaux HDPE et de recyclage des huiles usées

Le groupe MES qui tient à se distinguer dans le développement des projets industriels dans la province du Haut Katanga, innove davantage avec la création d’une nouvelle usine. Il s’agit de Congo Cable et Transformers. Cette dernière va mettre à la disposition des consommateurs des câbles électriques en aluminium et en cuivre, des barres de suspension en cuivre, des poteaux électriques et des transformateurs. On parle d’une fabrication locale et non d’une importation. Le Ministre de l’Industrie a procédé à la pose de la première pierre de cette usine dont la mise en service est également prévue avant fin 2022.

Enfin, le groupe MES, en appui à la vision du Chef de l’Etat dans son volet gestion de l’environnement et développement industriel pour une économie autosuffisante, a déjà rendu opérationnel une autre usine qui fait le recyclage des huiles usées de l’Industrie minière et de recyclage des mitrailles de cuivre pour respectivement la production de fuel oil soit, 6.000 kilolitres l’an et de barres de cuivres.
Cette branche du groupe MES qui a reçu un accompagnement financier du FPI pour son parachèvement a été visitée par la délégation venue de Kinshasa.

« Nous avons été heureux de recevoir cette panoplie de projets dont la fabrication des PVC, des tuyaux à haute densité parce que, vous voyez que c'est dans le secteur minier ou même de l'eau, le pays ne peut pas faire des addictions d'eau potable s'il n'a pas la capacité interne de produire ses propres tuyaux. C'est donc cette entreprise qui va nous aider à le faire. C'est pourquoi nous sommes venus ici pour montrer le soutien de tout le gouvernement. Le soutien du Président de la République et l'implication des autres, et l'invitation aux opérateurs économiques à faire comme eux. Le plus souvent, on nous accuse ou on nous interpelle de soutenir les opérateurs économiques étrangers comme si on interdisait aux nôtres de ne pas avoir d'initiatives. Je voudrais inviter les nôtres à avoir des initiatives. Le Fonds de Promotion de l'Industrie est créé pour tous les opérateurs économiques sans distinction de couleur. Qu'ils soient nationaux ou non nationaux, s'il y a un projet bancable qui est capable de nous apporter une valeur ajoutée, ce projet bénéficiera de notre accompagnement. Je voudrais inviter les opérateurs économiques nationaux à avoir de l'imagination car ce pays a l'avantage de compter 100 millions de consommateurs. Nous avons besoin d'une vision à long terme. Pour permettre qu’au delà de son existence, au delà de soi qu’on permette aux générations qui viendront de comprendre qu'à un moment de l'histoire, il y a eu des gens qui ont pensé à leur avenir. Donc il faut arrêter d'être dans l’immédiateté, parce que c'est souvent ce que font les Congolais, savoir ce que nous allons manger demain et on s'arrête là. Quand on commence à parler de 2040, on a moins d'amis parce que les gens disent : " Est-ce que je serai là ? ". Presque tout le monde pense qu'il faut d'abord se retrouver en 2022 avant de penser à 2040. Je voudrais vous inviter, avec le Président, le Premier Ministre et le Ministère de l'Industrie, à commencer à penser à long terme. Nous ne pouvons pas construire l'avenir sur la base de l'immédiateté. Nous devons planifier pour cinq, dix, quinze, vingt ans. »

Julien PALUKU KAHONGYA, Ministre National de l’Industrie a saisi l’occasion pour inviter d’autres opérateurs économiques à emboiter le pas à l’entreprise MES dans le processus de transformation locale des ressources de la RDC et ce, dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Directeur d’industrialisation de la RDC.

Inauguration de 2 usines de production des tuyaux HDPE et de recyclage des huiles usées

Le Directeur Général a.i. du FPI, Jean-Claude KALENGA a pour sa part, rassuré l’assistance que son Institution ne se lassera pas de financer des projets bancables pour le développement d’un circuit industriel intégré en RDC.

« Je voudrais simplement reconnaître notre cheminement commun avec le groupe MES. Nous avons accompagné le groupe dans plusieurs financements et le comportement des industries qui constituent ce groupe a été toujours exemplaire. Voilà pourquoi nous sommes toujours ensemble. Nous avons participé activement au financement de cette industrie que nous venons d’inaugurer aujourd'hui et nous espérons encore que s'ils continuent à respecter toujours nos conditions, toute la litanie d'industries qu'ils veulent inaugurer, nous serons là pour les accompagner. Et je crois aussi que c'est une satisfaction pour nous parce que cela rentre dans le cadre du Plan Directeur du Gouvernement d'Industrialisation. Vous savez que la politique de notre ministre, c'est celle de réindustrialiser le Congo. Et ici, nous avons un exemple typique dans le sens de ce que nous devons fournir comme efforts pour que notre pays ne soit pas toujours dépendant des importations, mais qu'il soit en mesure de satisfaire la grande industrie lourde de l'industrie minière avec des intrants et des matières qui permettent à ce que cette industrie fasse profiter à toutes les appendices de son développement et de son explosion actuelle. Voilà pourquoi je suis à l'écoute et je reste ouvert aux requêtes que le groupe va nous introduire pour pouvoir y donner satisfaction. »

Il sied de préciser que les investissements du groupe MES en RDC, ont contribué à la création de plus de 600 emplois avec une projection de plus de 1000 emplois dans les jours avenir.


Publié le 17 juin 2022
FPI et Dir. Cab. Guylain NYEMBO

Mbuji-Mayi : Inspection des Chantiers des Infrastructures Scolaires et Sanitaires

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Le Directeur de cabinet du Chef de l’État Guylain NYEMBO accompagné du Directeur Général a.i du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) Jean-Claude KALENGA MAKONGA, a effectué ce lundi 20 Décembre 2021, une seconde visite d’inspection pour s’enquérir de l’évolution des chantiers relatifs aux travaux de construction des infrastructures scolaires et sanitaires dans la province du Kasaï Oriental. Des travaux pilotés par le FPI dans le cadre du programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités.

Cette deuxième descente dans la ville de Mbuji-Mayi en l’espace d’environs deux mois et demi est une façon pour la Présidence de la République et le Fonds de Promotion de l’Industrie de pousser les entreprises qui exécutent lesdits travaux à respecter le délai prévu pour la livraison de ces ouvrages.

De l’école primaire du 4 janvier, à KALENDA MUDISHI en passant par les hôpitaux généraux de référence Saint-Jean Baptiste de KANSELE et de la MUYA, la délégation a reçu des explications techniques du bureau d’études et mission de contrôle CRESTE sur l’évolution des travaux.

FPI et Dir. Cab. Guylain NYEMBO

À l'issue de sa tournée d'inspection, le Directeur de Cabinet du Chef de l'État a salué l'état d'avancement des travaux. « Les Instructions données lors de la visite du 31 septembre dernier ont été suivies. Les travaux ont bien avancé. Le but de cette mission était de vérifier si les choses avancent normalement avant l’arrivée prochaine du chef de l'État ici à Mbuji-Mayi. Nous avons demandé à ce que les travaux soient accélérées, mais correctement. Nous voulons garder un rythme soutenu afin de ne pas dormir sur ces projets », a affirmé Guylain NYEMBO.

Une satisfaction également du côté de Fonds de Promotion de l’Industrie, maitre d’ouvrage. « Je peux dire que je suis satisfait de l'état d'avancement des travaux. Sur le plan financier, nous avons débloqué pratiquement le 1/10 des fonds et le niveau d'avancement des travaux nous réjouit », a renchéri Jean-Claude KALENGA MAKONGA.

Au sujet de ceux qui continuent à distiller des rumeurs sur la surfacturation, Jean-Claude KALENGA MAKONGA n’est pas allé par le dos de la cuillère : « Les réseaux sociaux ont donné de la parole à tout le monde. Tout le monde devient technicien. Personne n’a jamais accédé au dossier. Je ne pense pas que le bureau d’études et de contrôle a été approché par ces personnes qui font ces allégations ».

Avant de quitter Mbuji-Mayi, la délégation mixte Présidence de la République, Fonds de Promotion de L’Industrie a visité la ferme Avicole de DAIPN LUKELENGE réhabilitée, modernisée par le FPI dans la cadre du programme de 100 jours du Chef de l’Etat. Ainsi que le site choisi pour l’implantation de la Centrale Photovoltaïque de TSHIPUKA.

Le Directeur de Cabinet du Chef de l’État a eu dans sa suite le Conseiller Principal du Chef de l’État au collège infrastructures, David MUKEBA et le Conseiller Principal du Chef de l’État au collège Socio-culturelles l’abbé Théo TSHILUMBA .


Publié le 12 décembre 2021
FPI et Dir. Cab. Guylain NYEMBO

Kasaï Oriental : le FPI se réjouit du démarrage des travaux qu’il finance à Mbuji-Mayi

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

Le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) se réjouit du démarrage des travaux de construction, réhabilitation et modernisation des infrastructures scolaires et sanitaires qu’il finance dans la ville de Mbuji-Mayi dans la province du Kasaï Oriental. Le Directeur Général ad intérim Jean-Claude KALENGA MAKONGA a exprimé sa satisfaction ce jeudi 30 septembre 2021 à l’issue de la visite des chantiers, sous la supervision du Directeur de Cabinet du Chef de l’État Guylain NYEMBO en compagnie de la Gouverneure intérimaire Jeannette LONGA MUSUAMBA.

À l’en croire, le Fonds de Promotion de l’Industrie et la Présidence de la République, initiatrice de ce Projet Accéléré de Lutte Contre la Pauvreté et la Réduction des Inégalités, sont venus confronter les rapports du bureau de contrôle et de surveillance à ce qui se passe réellement sur terrain et savoir à quoi ont servi les fonds qu’ils ont déjà libéré pour la première tranche.

« Nous sommes heureux de voir que tous les cinq projets que nous avons financés ont effectivement démarré. Ça nous rassure, parce que ce ne sont pas de petites bicoques qu’on fait. Ce sont de grands travaux et de très grands travaux modernes, avec des infrastructures modernes. Ça nous enchante et nous sommes impatients de voir tous les travaux arriver à leur terme. Nous allons mettre à leur disposition les moyens nécessaires pour qu’ils réalisent les projets qui leur ont été confiés », s’est exprimé Jean-Claude KALENGA MAKONGA.

Le Directeur Général ai du Fonds de Promotion de l’Industrie a par ailleurs signalé que toutes les dispositions sont prises avec les institutions bancaires concernées dans ces projets pour que les entreprises attributaires ne souffrent d’aucune rupture de fonds.

Toutefois, M. Jean-Claude KALENGA MAKONGA a martelé sur le fait que les travaux doivent avancer le plus rapidement possible. Pour ce faire, il a recommandé aux entreprises qui ont gagné le marché d’accélérer le rythme de travail en augmentant le nombre d’ouvriers pour travailler le jour et la nuit.

Pour l’instant, a rassuré le Directeur Général intérimaire du FPI, les financements sont déjà positionnés. Le FPI n’attend que les factures des entreprises retenues.
« Nous attendons qu’ils nous transmettent les factures des travaux déjà réalisés…et nous allons libérer au fur et à mesure qu’ils évoluent », a-t-il renchéri.


Publié le 04 octobre 2021
Baliseur Lomela

Financés par le FPI, la RVF lance les travaux d’aménagement et entretien de la rivière Lubi, entre Sankuru et Ndomba

FPI, Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités :

La Régie des Voies Fluviales (RVF) a lancé ce mardi 2 février 2021 les travaux de désensablement de la rivière Lubi, située dans le Kasaï-Oriental. Un convoi fluvial composé du baliseur Lomela, armé de tous les matériels et intrants nécessaires acquis à cette fin a quitté la darse de la RVF pour le Kasaï-Oriental.

Financés par le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) en mars dernier, ces travaux seront exécutés dans le cadre du projet de la connectivité des provinces du grand Kasaï à la ville de Kinshasa et du Kongo central.

« Les travaux qui seront exécutés vont permettre aux bateaux de naviguer facilement jusqu’à Ndomba où nous comptons construire un port », a affirmé Boniface KASEMBE, Directeur Général Adjoint du FPI.

Ce projet d’intérêt public est vivement attendu par la population du Kasaï ; particulièrement celle de Mbuji-Mayi qui fait face à une flambée de prix des produits de première nécessité, faute d’approvisionnement régulier.

Une fois le désensablement effectué, la RVF va produire la carte de navigation de la rivière Lubi. Ruphin Ngomper ILUNGA, Directeur Général de la RVF appelle les riverains à protéger les signaux qui seront placés.

En initiant le projet de connectivité du grand Kasaï, le Fonds de Promotion de l’Industrie veut créer l’abondance des produits de première nécessité afin de réduire le prix sur le marché. Une façon pour cette entreprise du portefeuille de répondre au Programme présidentiel accéléré de lutte contre la pauvreté et les inégalités.


Publié le 03 février 2021

" L’Arti-Covid " du chercheur Jérôme MUNYANGI en phase d’essais cliniques

FPI, soutien des entreprises pour lutter contre le Coronavirus :

Financé par le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) pour la mise en place d’une formule à base de la plante artemisia dans la lutte contre le paludisme et le Coronavirus, le docteur Jérôme MUNYANGI vient de présenter ce jeudi 14 janvier au FPI " l’Arti-Covid ", un protocole de traitement de 10 jours pour lutter contre le Coronavirus.

« L’urgence nous a poussé aux recherches sur la formule appropriée qui réunit toutes les exigences pharmacologiques sur la Covid-19. Nous donnons la primeur au FPI en tant qu’institution qui a financé le projet. Il est logique que nous venions lui présenter l'état d’avancement du projet », indique le Dr Jérôme MUNYANGI.

Ce produit local qui devra contribuer à la lutte contre la pandémie de la Covid-19, attend la fin des essais cliniques avant son homologation par le Ministère de la Santé Publique.

FPI et Entreprises Egyptiennes

Le Directeur Général Adjoint du FPI Boniface KASEMBE qui a présidé cette cérémonie se dit satisfait de l’évolution du projet. Il a rassuré le chercheur de l’accompagnement de son institution pour la finalisation de l’autre volet du projet, à savoir : la formule appropriée de lutte contre le paludisme.

Le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) avait subventionné en juin dernier, la Fondation MUNYANGI. Ce fonds était destiné à la mise en place d’un Laboratoire National de Recherche sur l’Artemisia en vue de mener des recherches sur la formule appropriée pour la réduction du taux de morbidité et ou de mortalité due au paludisme et à la Covid-19 sur l’ensemble du territoire national.

Rentré à Kinshasa le 7 mai dernier, après avoir été rappelé par le Président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Jérôme MUNYANGI travaille dans la Task force chargée de conseiller le Chef de l’État dans la lutte contre la Covid-19.


Publié le 15 janvier 2021
Quatre ponts financés sur l’axe routier Kindu-Lokando

Inauguration des quatre ponts financés par le FPI sur l’axe routier Kindu Lokando

Programme du gouvernement provincial du Maniema :

Le Gouverneur de la Province du Maniema M. Auguy MUSAFIRI a inauguré le samedi 28 septembre 2019, quatre ouvrages d’art financés par le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) et exécutés par l’Asbl Ingénieurs Réunis pour le Développement de l’Afrique au Congo, en sigle « IRDAC ». La coupure du ruban symbolique s’est fait en présence du Directeur Général Adjoint du FPI Boniface KASEMBE, des autorités provinciales et coutumières.

Ces ponts sont jetés sur les rivières Lononga au PK9, Solo au PK11, Lombo au PK15 et Deladé au PK31. Ces ouvrages d’art ont chacun une capacité de 32 tonnes. Ils vont permettre à relier la ville de Kindu au Centre d’Instruction Militaire situé à 60km du chef-lieu de la province. Ces ponts faciliteront également la population riveraine à évacuer leurs produits champêtres vers les centres de consommation. Il en sera de même pour le tourisme, car c’est la voie qui donne l’accès au Parc de la Lomami.

Quatre ponts financés sur l’axe routier Kindu-Lokando

Pour le Ministre Provincial en charge des Travaux Publics et Infrastructures, « l’implication du FPI dans la construction de ces ponts en béton armé entre dans la droite ligne du programme du gouvernement provincial ».
Le Directeur Général Adjoint du FPI a invité les bénéficiaires à un sens de responsabilité

Le souhait des bénéficiaires est que le FPI ne s’arrête pas en si bon chemin en parachevant son œuvre par la subvention des 5 autres ponts restants pour atteindre Lokondo dans le territoire de Kailo


Publié le 30 septembre 2019
Projet de Forage à Bakwa Lubilanji

Mbuji-Mayi : L’eau coule du robinet à Bakwa Lubilanji grace au FPI

Programme d’urgence des 100 jours du Président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO :

Le projet de réalisation des forages et installation d’un mini réseau de distribution d’eau potable initié par le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI), à Bakwa Lubilanji à une vingtaine de Kilomètre du centre-ville de Mbuji-Mayi, dans le cadre du programme d’urgence des 100 jours du Président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO est opérationnel. Le Vice-Gouverneur de province, Madame Jeannette LONGA MUSUAMBA a remis provisoirement le mardi 17 septembre 2019 cet ouvrage à la population du village de Bakwa Lubilanji dans le territoire de Katanda, province du Kasaï-Oriental.

Le forage de Bakwa Lubilanji est doté d’un réservoir de 18 mètres cube monté sur une tour métallique de 8 mètres de hauteur. Le réseau a une longueur de 1000 mètres avec cinq bornes fontaines à 2 robinets pour permettre à la population locale de s’approvisionner facilement. Le système est actionné par un groupe électrogène de 17.5 kVA.

Projet de Forage à Bakwa Lubilanji

Il faut noter que dans un passé récent, la population de Bakwa Lubilanji était exposée à des maladies d’origine hydrique, tel que le cholera suite à la mauvaise qualité d’eau consommée qui provenait des marécages. Ce projet vient ainsi délivrer plus de 13 mille habitants, soit 1850 ménages.

Toutefois, le FPI déplore les actes de vandalisme perpétrés sur le deuxième site de forage à Mbuya Charles à près de 15 kilomètres de Mbuji-Mayi. Des inciviques ont saboté la tour métallique et emporté certains matériels. Les travaux ont repris pour la finition rapide du forage dans ce site. Et dans une dizaine des jours, l’eau potable va couler à Mbuya Charles et ce, à la grande satisfaction de la population.


Publié le 19 septembre 2019
Projet C.S. Mokengeli

Inauguration du C.S Mokengeli par le Président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, réhabilité par le FPI

Le Président de République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO inaugure le Complexe Scolaire Mokengeli, réhabilité par le FPI :

Le président de la République Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO a inauguré ce lundi 2 septembre le Complexe Scolaire Mokengeli dans la commune de Lemba. Cette école a été réhabilitée dans le cadre du programme d’urgence des 100 jours du Chef de l’État par le Fonds de Promotion de l’Industrie.

La cérémonie d’inauguration a coïncidé avec la rentrée scolaire 2019-2020 et, particulièrement, avec la mise en application de la gratuité de l’enseignement de base dans les écoles publiques.

« L’honneur qui est fait au secteur de l’enseignement, et plus modestement, au Fonds de Promotion de l’Industrie, témoigne en ce jour, du grand intérêt que vous portez aux réalisations d’envergure, qui dans le cadre du Programme d’Urgence des 100 jours, tendent à accomplir votre vision d’un Congo émergent », a déclaré Monsieur Patrice KITEBI, Directeur Général du Fonds de Promotion de l'Industrie.

Projet C.S. Mokengeli

Le Complexe Scolaire Mokengeli de Lemba, patrimoine de l’église Presbytérienne de Kinshasa vient grâce à cette réhabilitation de faire peau neuve, soixante ans, après son existence. Les travaux de réhabilitation ont consisté au renouvellement complet de la charpente totalement délabrée. De nouveaux locaux ont été également construits, à savoir l'Atelier de Couture, la Salle de l'Informatique et la Bibliothèque. Â côté de cela, l’école possède désormais un terrain de basket-ball, un puits de forage d'eau et deux blocs sanitaires, pour filles et garçons. Les travaux ont duré 120 jours, selon l'architecte constructeur responsable de cette œuvre.

À en croire le Directeur Général du FPI Patrice KITEBI « Plus que jamais le FPI tient à se positionner comme un instrument des politiques publiques au service des priorités de l’action gouvernementale, capable de réaliser efficacement les grands projets qui lui sont soumis pour contribuer à l’atteinte des objectifs de développement durable et inclusif du Congo ».

Projet C.S. Mokengeli

Intervenant à son tour, le Ministre intérimaire de l’EPSP, Emery Okundji a salué la volonté et la détermination du Président de la République de doter l’enseignement Primaire et Secondaire des Infrastructures dignes en améliorant les conditions de formation des élèves. Il réaffirmé par ailleurs la gratuite de l’enseignement de base tel que décidé par les autorités du pays.

Projet C.S. Mokengeli

Pour le FPI, la rénovation de Mokengeli comme la réalisation d’autres projets lui assignés dans le cadre des 100 jours a été financée avec l’argent du contribuable. Les coopérations multilatérales et bilatérales peuvent nous accompagner dans la réalisation de certains projets d’envergure, mais il ne peut s’agir que d’un appoint qui ne se substituera jamais à nos ressources propres.


Publié le 04 septembre 2019
Projet Qualagric

Financement d’une unité de séchage, décorticage et production du riz

FPI, le Directeur Général inaugure l’usine appartenant au projet Qualagric :

Le Directeur Général du Fonds de Promotion de l'Industrie Patrice KITEBI, a inauguré le vendredi 23 août 2019 à Kinshasa, l’usine de séchage, décorticage et production du riz appartenant au projet Initiative Qualité de vie des Producteurs et Transformateurs des Produits Agricoles « Qualagric ».

« Cette unité peut produire 15 tonnes du riz par jour. Ne nous abandonnez pas. C’est que vous venez d’inaugurer aujourd’hui n’est qu’une phase. À travers ce projet notre souci est de faire de l’agriculture le vrai moteur du développement de la RDC en valorisant l’agriculture paysanne au pool Malebo », a déclaré Madame Esperance Belau Lila, Promotrice du Projet.

Projet Qualagric

Ce projet d’appuis aux petits producteurs agricoles réuni plus de 6000 paysans dans le pool Malebo.

« C’est une fierté pour nous de venir inaugurer ce jour, ce projet qui a bénéficié de l’appui et l’accompagnement du Fonds de Promotion de l'Industrie. Notre responsabilité ne nous demande pas de rester seulement dans des bureaux climatisés. Parce que quand vous avez accordé un financement vous devez savoir l’impact de ce financement », a dit le Directeur General du FPI Patrice KITEBI.

Projet Qualagric

Le représentant et superviseur de ces petits producteurs agricoles a loué cet accompagnement du Fonds de Promotion de l’Industrie au projet Qualagric qui a permis aux agriculteurs du Pool Malebo de se regrouper en coopérative afin de valoriser leur travail et les aider à mieux commercialiser leurs produits alimentaires.

« Qualagric transforme également la farine de manioc, le maïs et l’huile de palme raffinée. »


Publié le 24 août 2019
Projet DAIPN-LUKELENGE

Arrivée du 1er lot de plus de 5000 poussins pour la ferme de DAIPN Lukelenge

FPI, Réhabilitation et modernisation de la ferme DAIPN-Lukelenge dans la Province du Kasaï-Oriental :

Le projet de réhabilitation et modernisation de la ferme DAIPN-Lukelenge dans la Province du Kasaï-Oriental se concrétise déjà. Plus de 5000 poussins pondeurs et de chair ont été acheminés à Mbuji-Mayi. C’est un premier lot qui marque la relance de cette ferme avicole qui a été abandonnée depuis plus de 30 ans.

Une ère nouvelle pour DAIPN-Lukelenge rendue possible grâce à l’intervention du Fonds de Promotion de l’Industrie, " FPI " qui s’aligne dans la droite mire du programme des 100 jours du chef de l’État, Felix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.

Projet DAIPN-LUKELENGE

Ce premier lot des poussins a été réceptionné le jeudi 22 Aout 2019, à l’aéroport de Mbuji-Mayi par Madame le Vice-Gouverneur de la Province du Kasaï-Oriental, Jeannette LONGA MUSWAMBA. Ils ont été accueillis avec joie car ils viennent réécrire l’histoire du DAIPN Lukelenge.

Pour l’Ambassadeur Itinérant du Chef de l’Etat, Nicolas Kazadi, « il s’agit d’une ère nouvelle pour DAIPN.

Projet DAIPN-LUKELENGE

À toute la population Est-Kasaïenne une promesse est faite : « Le premier lot des poulets de chair sera disponible sur le marché de Mbuji-Mayi à partir du 1er octobre 2019. Et à mi-décembre 2019, les premiers œufs seront disponibles sur le marché de Mbuji-Mayi, a affirmé le responsable de la firme Israélienne LR GROUP.


Publié le 24 août 2019
Descente de Patrice KITEBI au port de Kalemie

Réhabilitation du port de Kalemie

FPI, le Directeur Général et les partenaires au projet font le point avant le lancement des travaux :

Chaque jour qui passe, la matérialisation du projet de réhabilitation du port de Kalemie dans la Province de Tanganyika connait des avancées significatives. Le Directeur Général du FPI Patrice KITEBI, accompagné des consultants ainsi que d’autres intervenants dans ce projet viennent d’effectuer à nouveau une descente au port de Kalemie en vue de se rendre compte des aspects techniques liés à la réalisation de ce projet.

Cette nouvelle descente au port de Kalemie était essentiellement technique et vise la mise en œuvre des approches de faisabilité pour la matérialisation rapide de ce grand projet inscrit dans le programme d’urgence des 100 jours du Président de la Républiques, Chef de l’Etat.

Descente de Patrice KITEBI au port de Kalemie

Patrice KITEBI était accompagné des différentes parties prenantes à ce projet, à savoir: la Société Nationale de Chemin de Fer du Congo, SNCC; le Gouvernement Provincial de Tanganyika; le Bureau d’Etudes Kosovar GRANDI GROUP et la société Chinoise GEZHOUBA GROUP. Cette dernière intervient pour l’exécution des travaux de réhabilitation et d’extension du port ainsi que la recherche des financements auprès des banques chinoises.

Cette visite a permis aux parties prenantes d’échanger sur les préoccupations exprimées par le maitre d’œuvre désigné GEZHOUBA GROUP et sur les études techniques détaillées concernant la réhabilitation et la modernisation du port. Les parties se sont convenues sur la nécessité de séparer les activités militaires du port commercial une fois le projet réalisé.

Descente de Patrice KITEBI au port de Kalemie

Tenant compte des différents enjeux techniques, géostratégiques, économico-financiers que représente le port de Kalemie, surtout avec l’entrée en vigueur de la zone de libre-échange continentale, la collaboration entre le FPI et la SNCC devra également s’étendre au développement d’un pôle de croissance autour de la ville de Kalemie en particulier et de la province du Tanganyika en Général. Cela déclenchera, sans nul doute, un développement économique autour de ce port modernisé avec des incidences socio-économiques remarquables. Ce pôle de croissance assurera par ailleurs la connectivité entre les provinces environnantes en RDC qui pourra s’étendre, à moyen ou long terme vers les pays de l’Est, frontaliers à la Province de Tanganyika.


Publié le 17 août 2019
Signature d'un Contrat de Subvention entre le FPI et l'IITA

Signature du Contrat de Subvention

FPI et IITA, démarrage d'un projet d’aquaculture en cage sur le lac Kivu :

Le Fonds de Promotion de l’Industrie, FPI et l’Institut International de l’Agriculture Tropicale, IITA ont signé le vendredi 05 juillet 2019 à Bukavu, un contrat de subvention pour le démarrage du projet d'aquaculture en cage sur le lac Kivu.

Le montant de cette intervention s’élève à 687.153 USD. Cette enveloppe devra servir à l’acquisition des Cages d’élevage, de l’unité de fabrication d’aliment pour poissons, d’une chambre froide, une camionnette, des petits matériels et outillages de production ainsi qu’à la mise à disposition d’un fonds de roulement.

Le Directeur des Projets André ILALI représentant le Directeur Général du FPI a remis un titre bancaire de 109.000 USD à Emmanuel NTERANYA SANGINGA, Directeur Général de l'IITA, pour marquer le démarrage effectif de cette collaboration interinstitutionnelle qui vise, à court terme, la réalisation d’un projet à impact visible et rapide dans le cadre de l’entrepreneuriat de jeunes. Ainsi, la collaboration de ce jour entre le FPI et l’IITA marque la volonté du FPI de pérenniser l’encadrement, l’accompagnement et l’emploi des jeunes.

Signalons que ce projet fait partie de 13 projets dédiés au FPI, dans le cadre du programme d'urgence des 100 jours du président de la République Felix TSHISEKEDI TSHILOMBO.

Par ailleurs d’autres institutions seront impliquées dans la réalisation de ce projet, à savoir : L’Institut Supérieur de Développement Rural (ISDR-Bukavu), l’Institut Supérieur Pédagogique de Bukavu (ISP-BUKAVU) et le service national d’aquaculture (SENAQUA).

L’objectif du FPI est de contribuer à la revitalisation de la filière poisson par l’extension de la technique d’aquaculture à l’échelle nationale, afin de permettre d’avantage aux congolais de se procurer des poissons frais locaux aux prix abordables, grâce à l’implication professionnelle des jeunes.


Publié le 08 juillet 2019
D. Commercial M. SHI GUODONG (à gauche) et DG Patrice KITEBI (à droite)

Signature d’un protocole d’accord de collaboration

FPI et CHINA GEZHOUBA GROUP : réhabilitation du port de Kalemie :

Dans sa politique de réalisation des programmes structurants et industrialisants, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) vient de signer ce jeudi 20 juin 2019, un protocole d’accord de collaboration avec CHINA GEZHOUBA GROUP pour la levée des fonds à l’internationale en vue de la réhabilitation du port de Kalemie dans la province de Tanganyika.

Le port de Kalemie est un ouvrage d’intérêt public et économique d’une importance capitale pour le développement de la province du Tanganyika. Il joue ainsi un rôle déterminant avec des effets de ruissellement sur l'économie de neuf (9) Provinces issues du démembrement des anciennes Provinces du Katanga, Kasaï-Oriental et Kasaï-Occidental.
Pour assurer sa réhabilitation, le FPI a besoin d’un financement qu’il ne saurait couvrir avec ses moyens propres. Le protocole d’accord signé entre le FPI et CHINA GEZHOUBA GROUP va permettre à la mobilisation des fonds nécessaires pour la réhabilitation du port de Kalemie; la réalisation des études techniques détaillées et d’exécution du projet en prenant en compte les études déjà réalisées par le FPI.

« Nous allons chercher le financement en Chine. Et nous espérons obtenir le financement le plutôt possible pour projeter le début des travaux dans six mois », a promis M. SHI GUODONG, Directeur Commercial de CHINA GEZHOUBA GROUP.

D. Commercial M. SHI GUODONG (à gauche) et DG Patrice KITEBI (à droite)

Ce protocole vient ainsi concrétiser la vision managériale du FPI qui veut mettre un accent particulier dans le développement des programmes structurants et industrialisants à travers tout le territoire national.

« Le FPI entant qu’établissement public dont la principale mission est d’assurer le financement de l’industrie nationale est préoccupé par la réhabilitation de ce port en vue de pré-viabiliser et viabiliser ses interventions dans la région par la réduction sensible des coûts liés aux diverses importations des entreprises à financer, mais aussi à améliorer la collecte de la Taxe de Promotion de l’industrie (TPI), sa principale ressource. Pour assurer cette réhabilitation, le FPI a besoin d’un financement qu’il ne saurait couvrir avec ses moyens propres », a fait savoir Patrice KITEBI, Directeur Général du FPI.

Signalons enfin que le port de Kalemie est aussi le terminal ferroviaire du réseau SUD-EST qui se trouve aujourd’hui dans un état de délabrement très avancé et ses infrastructures nécessitent une réhabilitation pour le rendre performant.


Publié le 21 juin 2019
Patrice KITEBI et Joseph HAIM HARROSH

Programme des 100 jours du chef de l’État

DAIPN LUKELENGE : bientôt de nouveau opérationnel au Kasaï Oriental :

Le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) et la société Israélienne LR GROUP LTD ont signé le 16 Mai 2019, un protocole d’accord pour la mise en œuvre du projet de réhabilitation, modernisation et développement du Domaine Agro-Industriel Présidentiel N’Sele de LUKELENGE au Kasaï-Oriental au terme d’un appel d’offre lancé par le FPI.

Cet accord qui est conclu dans le cadre du programme des 100 jours du chef de l’État Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, pour un montant total de 5.025.000 USD, sera exécuté en deux phases. La première phase sera totalement financée par le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) et consistera en des travaux de réhabilitation et de modernisation des infrastructures, notamment la réhabilitation des fermes avicoles et les infrastructures associées, l’élevage de poules pondeuses et la production d’œufs.

Avec l’exécution de ce projet, plus de 200 emplois seront créés. Cette ferme sera l’un des principaux pôles d’approvisionnement en aliment de qualité au meilleur prix pour la population de Mbuji-Mayi et du Kasaï-Oriental en général.

Patrice KITEBI et Joseph HAIM HARROSH

« Nous comptons faire de la ferme de LUKELENGE, un modelé de projet agro industriel moderne dans la province et en RDC. Notre objectif est de réduire les importations dans cette zone, fournir de l’emploi à des centaines de congolais et de transférer le savoir-faire à la population locale », a déclaré Monsieur Joseph HAIM HARROSH, Directeur Général de LR GROUP LTD.

La deuxième phase portera sur la création et le fonctionnement de l’entreprise de gestion en vue de la pérennisation des activités mises sur pied.


Publié le 17 mai 2019
ACOGENOKI - FPI

Programme des 100 jours du chef de l’État

Création de la richesse en RDC :

Dans sa mission de promouvoir l’industrie locale, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) vient de subventionner deux projets dans le cadre de sa participation au programme des 100 jours du chef de l’Etat Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO.

La première subvention accordée à ACOGENOKI porte sur l’acquisition et l’implantation d’une unité modulaire de transformation de lait ainsi qu’au financement des besoins en fonds de roulement. Ce projet est situé à Luhonga à Sake dans la province du Nord-Kivu. Le montant de la subvention s’élève à 695.266,00 USD.

« Cette subvention est un appui important que nous venons de bénéficier du FPI dans le cadre des 100 jours du chef de l’Etat. Notre joie est immense. Nous allons travailler pour retrouver le niveau que nous avions atteint avec la coopération Zaïre-Canada entre 1980-1993 », a déclaré Emmanuel KAMIZI Runigi, Président du Conseil d’Administration de l’ACOGENOKI.

ACOGENOKI est une association créée par les éleveurs depuis les années 80. Elle a bénéficié d’un appui de la coopération Zaïre - Canada jusqu’en 1993. Les conflits inter ethniques des années 1993 exacerbés par l’arrivée des réfugiés Rwandais en 1994 ont tout détruit. Depuis lors, cette association peine à relancer ses activités. Elle a aujourd’hui un cheptel composé de 140.000 vaches.

CAB - FPI

La deuxième subvention a été accordée au Comité d’Autopromotion à la Base, CAB en sigle, une structure qui est implantée à Mulume Munene au Sud-KIVU. Un montant de 280.454,00 USD leur a été accordé au titre de cette subvention qui est destinée à l’appui de l’élevage bovin par la réhabilitation des infrastructures existantes ainsi qu’au financement des besoins en fonds de roulement. Cette subvention va également servir à la mise en place d’une unité de transformation laitière.

« L’acte que le FPI vient de poser aujourd’hui remet de l’espoir aux éleveurs réunis au sein de cette association. Cette subvention va relancer nos fermes au sud Kivu. Beaucoup de produits laitiers qu’on retrouve actuellement sur le marché de BUKAVU proviennent des pays frontaliers simplement parce qu’il n’y a pas d’unités de transformation sur place. Ce financement va nous permettre de contribuer à la réduction de ces importations. Il va également permettre aux éleveurs de passer de l’élevage de prestige qui est contreproductif à un élevage économique qui vise la richesse », a fait savoir Patient BAGENDA, Secrétaire Général de CAB asbl.

« Nous voulons saisir cette occasion pour vous encourager et vous demander de prendre les mesures nécessaires pour réaliser ces deux projets. Cette subvention que nous vous accordons ce jour est pour nous une façon de participer à la création de la richesse », a déclaré Patrice KITEBI, Directeur Général du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI).


Publié le 05 mai 2019

Programme des 100 jours du chef de l’État

Inauguration des ponts Lubuya et Lubunga par le Président de la République dans la Tshopo :

Le premier pont inauguré par le Président de la République Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le 23 avril 2019 c’est le pont Lubuya. Il est jeté sur la rivière Wanyarukula à 60 km sur la Route Nationale no 3, à l’Est de la ville de Kisangani.
Le deuxième pont inauguré par le Président de la République pendant son séjour à Kisangani est le Pont Lubunga. Celui-ci est situé sur la rive gauche du fleuve Congo. Ce pont relie la province de la Tshopo à celle du Kasaï-Central. Deux ouvrages financés par le Fonds de promotion de l’Industrie.

Pont Lubuya

Le premier pont inauguré par le chef de l’Etat Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO est le pont Lubuya. Long de 30 mètres avec une capacité de 60 tonnes, ce pont coupé après l’effondrement du vieux pont érigé vers les années 50 est d’une importance économique capitale. Il va permettre le trafic entre les provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Maniema et Tshopo. Les véhicules de grand tonnage peuvent circuler aisément sur ce nouveau pont.
Il a fallu 25 jours aux ingénieurs de l’Office des routes pour ériger ce pont. L’ancien pont construit en 1951 avait une capacité de 25 tonnes.

Ce pont est situé sur l’axe Route Nationale no 3, Kisangani/Lubutu (PK59). Il est du type Métallique Waagner Biro. Les travaux ont été financés totalement par le Fonds de Promotion de l'Industrie (FPI) et ont coûté 700 mille dollars Américains.

Pont Lubunga

Le Pont Lubunga est le deuxième pont inauguré par le Président de la République. Un ouvrage de 15 mètres en béton armé avec une capacité de 60 tonnes. L’importance de ce pont qui se situe sur la rive gauche du fleuve Congo dans la commune de Lobunga à Kisangani découle du fait qu’il ouvre la circulation sur la Route Nationale no 7.

Partir de Kisangani pour le Kasaï-Central en passant par le Sankuru est redevenu possible. Ce pont vient remettre la joie à la population boyomaise. Parmi les effets immédiats de cette mise en circulation figure la baisse du prix des denrées alimentaires en provenance de l’intérieur vers la ville de Kisangani.

Le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) a financé ces travaux à hauteur de 200 mille dollars Américains. Ceci constitue une preuve incontestable que le FPI se présente inévitablement comme un instrument privilégié du Gouvernement dans la réalisation de plusieurs projets d’intérêt national.

Cette action démontre à suffisance que rien ne saura ébranler l'engagement de la Direction Générale du FPI dans la réalisation des projets inscrits dans les 100 jours du Président de la République.


Publié le 29 avril 2019.
Subvention de Service National d’Hydraulique Rurale (SNHR)

Financement des travaux de forage de 7 puits dans les villes de Kananga et Mbuji-Mayi

100 jours du Chef de l’État : Le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) finance les travaux de forage de 7 puits dans les villes de Kananga et Mbuji-Mayi :

Le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) vient de signer ce jeudi 11 avril, un contrat de subvention avec le Service National d’Hydraulique Rurale (SNHR) pour un montant de 1.065.000 USD. Cette subvention concerne le forage d’eau potable dans les villes de Kananga et Mbuji-Mayi ainsi que le suivi et contrôle des travaux d’addiction d’eau potable à l’Université de Kinshasa.

Ce projet est financé dans le cadre du programme d’urgence des 100 premiers jours du Chef de l’Etat Félix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO. Au total, sept (7) puits de forage d’eau et la mise en place des mini-réseaux de distribution seront construits à Kananga et à Mbuji-Mayi en vue de donner de l’eau potable à la population de la périphérie de ces deux grandes villes des Kasaï-Central et Occidental.

Le Directeur Général du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) Patrice KITEBI a insisté sur le respect du délai d’exécution de ces travaux qui doit tenir compte du programme du Chef de l’Etat.
« Vous avez été sélectionné parmi plusieurs entités convoitées pour exécuter ces forages. Nous avons tenu compte de vos capacités techniques et organisationnelles. Nous ne doutons pas que vous mettrez en place les équipes nécessaires dans le délai le plus bref que possible pour soulager cette population », a-t-il dit.

« Je vous remercie pour la confiance que vous avez placée à un autre service de l’Etat, qui est le Service National d’Hydraulique Rurale (SNHR) pour réaliser ces travaux. Je vous garantis que ce travail sera fait avec notre cœur et vous ne serez pas déçu. Toute difficulté qui pourra surgir en cours d’exécution, vous sera communiquée à temps en vue de faciliter un aboutissement heureux des travaux », a rassuré Georges KOSHI GIMEYA Secrétaire Général du Ministère de Développement Rural.


Publié le 12 avril 2019.

Début des travaux de construction et de réhabilitation de l’Institut Mokengeli

Programme des 100 jours du chef de l’État :

Dans le cadre du programme des 100 jours du chef de l’Etat Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, l’un des projets dans le secteur de l’éducation vient d’être matérialisé avec l’appui du Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI). Le complexe scolaire Mokengeli dans la commune de Lemba à Kinshasa est bénéficiaire de cet appui.
Le Ministre de l’Industrie Marcel ILUNGA Leu accompagné de son homologue de l’Enseignement Primaire et Secondaire, Emery OKUNDJI a procédé à la pose de la première pierre de construction le mercredi 10 avril.


Au total 33 salles de classes ne répondant plus à la règlementation de l’enseignement primaire et secondaire relatif à la construction scolaire vont être réhabilitées. À cela s’ajoute la construction d’un nouveau bâtiment qui va abriter l’atelier de couture, la bibliothèque et la salle informatique. Ces travaux seront exécutés par l’entreprise ETRAPE qui a promis de le faire dans les normes en vigueur.

Satisfait d’être parmi les premiers bénéficiaires du programme d’urgence des 100 jours du chef de l’Etat en matière de l’enseignement, le représentant légal de la communauté presbytérienne n’a pas tari d’éloges en l’endroit du Chef de l’Etat et du Fonds de Promotion de l’Industrie.

« La jeunesse est l’avenir du pays. Pour devenir élite, elle doit recevoir une bonne formation dans un environnement décent », a affirmé Marcel ILUNGA Leu le Ministre de l’Industrie. Il saisit cette occasion pour féliciter le Conseil d’Administration et la Direction Générale du FPI pour sa détermination à accompagner le chef de l’Etat dans son programme d’urgence des 100 premiers jours avec 13 projets à réaliser.

« Le peuple attend de vous un travail de qualité et dans le délai ». Recommandation du ministre de l’Industrie à l’exécutant des travaux ETRAP. Au complexe scolaire Mokengeli et à la communauté presbytérienne : « C’est une grâce exceptionnelle (…) que ça soit l’une de vos écoles qui figure dans le programme d’urgence du Chef de l’Etat. Vous devez le gérer en bon père de famille », a conclu Marcel ILUNGA Leu.

Présent à cette cérémonie, l’honorable député Jean Baudouin Mayo, l’une des élus du Mont Amba et ancien élève du complexe scolaire Mokengeli a félicité le Chef de l’Etat pour cette belle initiative.

La réalisation de ces travaux est évaluée à 1 million huit cent quatre-vingt mille dollars américains et devra durée 3 mois.


Publié le 11 avril 2019

Programme des 100 jours du chef de l’État

Le FPI subventionne deux projets :

En exécution de son engagement au programme d’urgence des 100 premiers jours du Président de la République Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) a, au cours d’une cérémonie qui s'est tenue le mercredi 3 avril 2019, accordé deux subventions pour la réalisation de deux projets.

1. La première subvention a été accordée à l’Université de Kinshasa. Elle consiste à l’exécution de la deuxième phase des travaux d’adduction d’eau potable sur le site du campus universitaire. Il s’agit de fournir de l’eau au plateau des professeurs, aux Cliniques Universitaires, aux homes des étudiants, aux auditoires et au Centre Neuro Psycho Pathologique (CNPP).
Le montant de la subvention est de 755.000 USD.

Signature d'accord par la D.G'

« Vous êtes entrain de résoudre un problème réel. Il y a plus de 30 ans, le plateau des résidences des professeurs n’avait pas de l’eau. Aujourd’hui, les professeurs ne circulent plus avec des bidons dans leurs véhicules. Et maintenant, vous voulez passer au plus grand nombre. Les étudiants de l’université de Kinshasa ne peuvent jamais oublier ce que le FPI va bientôt réaliser », a déclaré Professeur Daniel NGOMA YA NZUZI, recteur de l’Université de Kinshasa.

La réalisation de ces travaux d’adduction d’eau à l'Université de Kinshasa a été confiée à l’entreprise SOLUTIONS FOR AFRICA. Il sera question de construire 10 forages avec réseau de distribution.

2. La deuxième subvention a été accordée à la Communauté Presbytérienne de Kinshasa pour la modernisation, la rénovation et la construction des nouveaux bâtiments de l’École Mokengeli de Lemba à Kinshasa.
Le montant global de la subvention est de 1,8 million de dollars américains. L’Entreprise de Construction ETRAP a été sélectionnée comme maitre d'ouvrage pour l'Ecole Mokengeli Est.

Signature d'accord par la D.G'

« Construire une école c’est penser à l’avenir de notre nation. C’est aussi donner une grandeur d’esprit à nos enfants pour que eux aussi pensent à leur tour comment reconstruire notre pays.
Nous remercions vivement le Chef de l’Etat pour avoir pensé à notre école. Evidemment le Fonds de Promotion de I ’industrie qui a pris en charge la réhabilitation de l’école Mokengeli
», a fait savoir le Pasteur Isaac KALONJI, représentant de la communauté Presbytérienne de Kinshasa.


Publié le 04 avril 2019.

Construction du pont Lubunga

La Province de la Tshopo obtient un appui du Fonds de Promotion de I ’Industrie :

Le Fonds de Promotion de I’Industrie et la Province de la Tshopo ont signé ce mercredi 07 novembre 2018 à Kinshasa, une convention de financement des travaux de la construction du pont Lubunga.
Il s’agit d’une subvention non remboursable d’un montant de 200.000 dollars Américains destiné à la reconstruction d’un ouvrage en béton armé d’une longueur de 18,50 mètres sur la rivière Lubunga entre Kisangani et Opale sur la route nationale numéro 7 (Kananga - Kisangani) dans la Province de la Tshopo.

« C’est un soulagement pour les habitants de Lubunga. La construction de ce pont va résoudre la difficulté de la population de ce coin à acheminer les produits agricoles sur le marché de la ville de Kisangani », a affirmé le Gouverneur de la Province de la Tshopo Monsieur Constant LOMATA KONGOLI, qui a remercié le Fonds de Promotion de I’Industrie pour cette intervention.

L’exécution de travaux de construction de ce pont est confiée à l’Office des Route compte tenu de son expertise avérée en matière de construction des ouvrages en RDC.
« L’intérêt est d’aller vite pour ne pas pénaliser la circulation sur cette route stratégique. C’est ainsi que nous avons estimé la durée de travaux à trente-neuf (39) jours. L’Office des Routes n’attend que le premier décaissement pour lancer les travaux. » a fait savoir Herman MUTIMA SAKRINI, Directeur Général de l’Office des Routes.

Le Directeur Général du Fonds de Promotion de I’Industrie Patrice KITEBI a appelé aux différentes parties signataires de cette convention à s’impliquer pour une bonne exécution des travaux. « L’intérêt de cette subvention est de répondre d’une part aux besoins de desservir la population de la ville de Kisangani en produits vivriers de premières nécessitées, et d’autre part, d’approvisionner les industries locales en matières premières », a-t-il renchéri.


Publié le 08 novembre 2018
Lancement de Construction des 4 ponts

Construction des quatre ponts dans le territoire de Kailo

Lancement des travaux de construction des quatre ponts dans le territoire de Kailo :

Le Directeur Général Adjoint Boniface KASEMBE a lancé les travaux de construction de quatre ouvrages d’art (pont) qui seront jetés sur les rivières, Lononga, Solo, Sombo et enfin la rivière Delade dans le territoire de Kaïlo sur l’axe routier Kindu-Lokandu.

La construction des ouvrages par ONDG IRDAC subventionnée par le Fonds de Promotion de l'Industrie a l’avantage de renforcer la capacité des communautés du territoire de Kailo à se prendre en charge par l’augmentation de l’accès des populations bénéficiaires aux services routiers. Ces ponts faciliteront également l’écoulement des produits agricoles vers la ville de Kindu. Ils vont enfin, désenclaver la cité de Lokando et ses environs et connectera au parc de TL2 et à la base militaire de Lokando.

Le Gouverneur de la province Gérôme BIKENGE qui a officié le lancement de ces travaux a salué l’initiative du Fonds de Promotion de l'Industrie. Il a par ailleurs loué le leadership organisationnel et fonctionnel de la nouvelle Direction Générale pour l’érection de ces ouvrages d’art. « La route a toujours été la route du développement, je vous remercie d’avoir pensé au Maniema » a-t-il renchéri.


Publié le 02 octobre 2018

Projet innovant !

Le FPI Finance un projet innovant dans la recherche appliquée :

Fidèle à sa mission principale qui est de promouvoir l’essor de l’industrie congolaise, le Fonds de Promotion de L’Industrie vient de le démontrer une fois de plus, avec la subvention d’une unité mobile de traitement et de distribution d’eau potable. Projet initié par la Fondation KUMU Frey.

Ce projet, fruit d’une recherche appliquée, a été inauguré ce vendredi 03 août 2018 dans les installations du Fonds de Promotion de l’Industrie par le Ministre de l’industrie Marcel ILUNGA LEU accompagné du Directeur Générale du FPI, Patrice KITEBI.
Ce Camion–citerne est un prototype d'une technologie révolutionnaire qui consiste à traiter, conditionner et distribuer de l’eau potable. Son caractère mobile est un atout qui permettra d’atteindre les coins reculés de la ville où l’accessibilité en eau potable reste extrêmement difficile.

Cette œuvre qui relève du génie congolais aura le mérite de lutter contre les maladies hydriques comme le choléra, qui sévissent dans certaines communes de la ville. Elle va par ailleurs, soulager tant soit peu la souffrance de la population kinoise due à la pénurie d’eau potable dans certains quartiers de la capitale. Une incidence socio-économique au regard du nombre des personnes qu’il pourra atteindre..


Publié le 05 août 2018